Les cas des violences sexuelles des enfants dont l’âge varie entre 10 et 16 ans sont des plus en plus enregistrés dans les carrés miniers du sud Kivu pour tant la présence des enfants est réprimée par les lois de la RDC. REPORTAGE ROSINE MIGABO
Reportage sur les violences sexuelles des mineurs dans le carré minière
Sud-Kivu : Plusieurs femmes perdent la vie lors des accouchements suite au stress occasionné par la crise sécuritaire (JI des sages-femmes)
Plusieurs femmes enceintes décédées depuis le mois de Mars jusqu’au mois de Mai/2025 en Province du Sud-Kivu. Ceci suite aux stress consécutivement aux atrocités dans l’Est de la RDC, la faible prise en charge sanitaire et le manque de suivi et tant d’autres problèmes.
L’alerte est des sages-femmes lors d’un entretien avec le reporter de la RTNK lundi 5/Mai/2025 en marge de la journée des sages-femmes.
Les cas sont légion dans les territoires de Kabare, Kalehe, Idjwi et Walungu.
Dans tous ces coins le suivi des femmes enceintes est devenu hypothétique.
Si certaines ont du mal à se faire consulter d’autres ne savent pas se déplacer avec le contexte sécuritaire détérioré au Sud-Kivu.
Le même contexte qui ne permet pas aux Sage-Femmes de bien jouer leur rôle en cette période de crise.

« Les sages-femmes sont en insécurité, des turbulences liées à la crise sécuritaire au Sud-Kivu où certaines structures sanitaires ont été pillées, détruites, et autres fermées pendant la guerre, les femmes enceintes traversent un moment difficile. Cette situation s’ajoute aux stress et cela accentue la mort maternelle » déplore la vice-présidente de la corporation provinciale des sages-femmes Estelle Bahati.
Même son de cloche pour le vice coordinateur provincial des sages femmes chargé de l’administration au niveau de la province.

« L’insécurité ne permet pas aux sages femmes de travailler dans leur condition habituelle moins encore aux femmes enceintes d’atteindre les structures sanitaires à temps réel pour faire le suivi de la grossesse et le retard dans la prise des décisions posent problème et sont à la base des morts maternelles » indique Nestor Bafunyembaka.
De son côté Espérance Namanvu Mudimo secrétaire exécutive provinciale du syndicat des sages-femmes ajoute que les conséquences sont multiples notamment le fait que les femmes soient exposées aux infections «post-partum» et le décès des enfants.

Elle craint que cela ne s’aggrave si aucune intervention n’est faite dans l’urgence.
En somme Francine Bagalwa Bulonza secrétaire de l’ordre des sages femmes au Sud-Kivu de solliciter la protection de leurs collègues, le renforcement de la sécurité et l’équipement des structures sanitaires afin de limiter les décès maternel en Province et sauver des milliers des vies.

L’année 2025, la journée dédiée aux Sages-Femmes a été célébrée sous le thème : «Sage-Femme indispensable dans la crise»
Par Eric CHOKOLA et Lydia CIBALE
Bukavu: Les Scouts du Groupe CELPA soufflent sur leur vingt-cinquième bougie au chevet des malades
1er Mai 2000-1er Mai 2025, 25 ans déjà depuis la création du groupe scout CELPA en ville de Bukavu. Pour rendre ce jour mémorable , les jeunes de ce groupe scout de l’église protestante, viennent d’organiser deux apostolats aux centres de santé de la CELPA à Muhungu et en face de la 33 ème Région Militaire en ville de Bukavu.
A en croire le responsable de ce groupe scout, Mr Iragi Espoir dit Narval Laborieux , ces apostolats, sont des bonnes actions scoute pour accorder du sourire aux malades.
A ces endroits, ces scouts, guides et enfants de la meute, ont offert aux malades des vivres et non vivres dans un climat de joie et de compassion.
Occasion pour lui de sensibiliser la population de Bukavu sur l’existence du mouvement scout dans la communauté CELPA et son rôle important dans la formation de la jeunesse.
Ce dernier invite les autres jeunes à vivre en harmonie et à compatir avec les personnes en difficulté.
En rappel, ces jeunes, femmes et enfants du groupe scout CELPA ont clôturé cette célébration par le partage d’un gâteau dans une ambiance joviale à son siège situé à l’institut Tumaini en ville de Bukavu.
Sud-Kivu/JIT 2025: L’UNTC plaide pour l’amélioration des conditions de travail des employés
L’Union Nationale des Travailleurs du Congo(UNTC) plaide pour l’amélioration des conditions de vie de travailleurs. Le tout en assurant la sécurité de leurs entreprises. Ceci pour favoriser un bon climat de travail à ces derniers. Cette structure l’a exprimée lors d’un point de presse tenu ce jeudi 1er Mai 2025 à Bukavu en marge de la journée internationale du travail.
Lors de ce point de presse , il a été question d’évaluer les conditions dans lesquelles les travailleurs exercent leurs métiers durant cette période de crise que traverse la RDC en général et en particulier la province du Sud-kivu .
Et d’ajouter les conditions de travail ont sensiblement régressé suite aux multiples guerres , qui ont conduit à la détérioration des conditions de vie et la fermeture de certaines sociétés , l’instabilité du taux de change , le chômage et la baisse du pouvoir d’achat du travailleur.
L’UNTC indique que cette journée est célébrée d’une manière exceptionnelle suite au faut que l’action syndicale en province du Sud-Kivu connaît des difficultés énormes dues à la fermeture des banques et coopératives d’épargne et de crédit depuis le mois de février 2025 .
Face à cette situation, Mme Ghislaine Kwinja CIVAVA, présidente de l’UNTC appelle les autorités à trouver une solution durable pour le rétablissement de la paix dans l’Est de la RDC.
Le tout pour favoriser un bon climat de travail aux travailleurs de cette région .
Occasion pour elle de compatir avec ses camarades travailleurs qui jusque-là n’ont pas de moyens de rejoindre leurs lieux de service suite à la fermeture de certaine entreprises depuis la prise de la ville par le mouvement M23.
Signalons que la journée Internationale du travail a été célébrée cette année sous le thème « Oeuvrer pour la paix et la stabilité afin de favoriser l’industrialisation, le commerce et le travail décent pour la justice sociale» et sur le plan national cette journée est célébrée sous le thème: « Unis et solidaire pour la résilience en RDC
Chronique : « Non à l’attaque et à l’occupation des écoles au Sud-Kivu », KYUNGU MUKUTA Steve
L’Attaque et l’occupation des écoles par des groupes armés ou les forces armées pendant les conflits armés constituent des violations graves des droits de l’enfant.
La Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant (CIDE) garantit l’accès à l’éducation à tous les enfants filles ou garçons sans distinction de races ni des langues.
Chaque enfant a droit à l’éducation et à des possibilités d’apprentissage de qualité
L’éducation joue un rôle très important dans la formation d’un être humain, elle vise à favoriser l’épanouissement de la personnalité de l’enfant et le développement de ses dons et de ses aptitudes mentales et physiques, dans toute la mesure de leur potentialité. CIDE, Art 28
L’éducation est un droit fondamental, un puissant vecteur de développement et l’un des meilleurs moyens de réduire la pauvreté, d’élever les niveaux de santé, de promouvoir l’égalité entre les sexes et de faire progresser la paix et la stabilité.
La finalité de l’éducation est l’amélioration de la qualité de vie d’une personne.
Pas d’éducation, pas d’Hommes formés, utiles pour la société.
L’enseignement primaire est obligatoire et gratuit pour tous
La gratuité de l’enseignement de base étant encore l’un des grands défis à révéler par le gouvernement Congolais, qui se bat jusqu’à présent pour son effectivité totale sur toute l’étendue du territoire Congolais.

Malheureusement , depuis l’aggravation de la situation sécuritaire en province du Sud-Kivu, des écoles ont été attaquées et d’autres sont toujours occupées.
Une situation qui prive à plusieurs enfants leur droit à l’éducation.
C’est le cas de l’école primaire KASHIE du centre évangélique viens et vois (CEVV) située à Ciriri en commune de Bagira, qui après avoir servi d’abri à certains éléments des FARDC blessés de guerre, s’est vue être démolie : Bâches des toilettes transformées en lits, bancs, pupitres transformés en bois de chauffage pour la cuisson de leurs aliments. Quelques tôles enlevées et vendues aux enchères.

Aujourd’hui, l’école est en difficulté de faire asseoir 413 élèves pour qu’ils étudient dans des bonnes conditions.
Pour rappel , cette école avait bénéficié de l’appui en Kits scolaire de la part de la fondation KMS-F en date du 14 Septembre 2024.
La Fondation KMS asbl dénonce et condamne cette grande violation de la loi portant protection de l’enfant, de la convention internationale des droits de l’enfant et des instruments juridiques , qui défendent la protection de l’enfant au niveau international, nationale et local.
A cet effet , la Fondation KMS-F lance un appel à tous les défenseurs internationaux, nationaux et locaux des droits de l’enfant, d’intensifier la sensibilisation auprès des responsables des groupes armés, les autorités plitico-administratives, les services de sécurité, sur la protection des droits de l’enfant pendant la période des conflits armés.
Bukavu : Les hôteliers , restaurateurs et tenanciers plaident pour l’amélioration de la sécurité
Les hôteliers , restaurateurs et tenanciers des espaces récréatifs décrivent le climat des affaires paralysé par la situation sécuritaire qui prévaut dans l’Est de la RDC.
Ce qui affecte le secteur touristique plus particulièrement les hôteliers qui s’insurgent. Ils l’ont fait savoir dans un entretien avec le reporter de la RTNK.
Tout est consécutif à la crise engendrée par le conflit armé dans l’Est de la République Démocratique du Congo.

En ville de Bukavu par exemple, plusieurs tenanciers des hôtels font savoir que depuis un temps l’état de guerre et d’insécurité ne permet pas aux visiteurs du milieu et d’ailleurs de venir s’héberger dans leurs hôtels moins encore consommer leurs produits.
A eux d’ajouter que plusieurs personnes préfèrent acheter les minimums vitaux qu’aller s’acheter le repas à l’hôtel comme c’était le cas dans les temps passés.
Situation qui ne facilite pas la reprise normale et l’exercice de leurs activités quotidiennes en toute quiétude.

L’un d’eux qui a gardé l’anonymat fait savoir qu’il y a des jours qu’ils ne vendent pas même une bouteille d’eau pourtant les charges fixes restent les mêmes en titre d’exemple l’électricité, l’eau et les personnelles.
Il souligne que l’inactivité de la Bralima et de certains acteurs économiques se répercutent également sur eux.
Cela s’ajoute à la fermeture des banques qui a aggravé la situation limitant l’accès aux liquidités et entravant les transactions.

Notre source déplore que malgré le contexte du moment ils sont soumis aux taxes alors que les activités sont au ralenti si pas à l’arrêt.
Face à cette situation, les tenanciers des hôtels, restaurants et espaces récréatifs plaident pour le retour de la paix dans l’Est de la RDC et que les partis en conflit s’attendent afin de restaurer la paix et la sécurité pour que la vie revienne au normal.
Ils estiment qu’un climat d’affaire favori et le retour urgent de la paix s’avèrent importants pour que l’effervescence soit encore au rendez-vous.
Sud-Kivu : La Fondation Faida Faidika Faidisha F3 lance le projet « Entreprendre avec Capital zéro» pour assurer l’autonomie des Femmes et jeunes filles
La Fondation Faida Faidika Faidisha (F3) vient de procéder au lancement du projet « Entreprendre avec Capital Zéro ». Ceci pour encourager l’entrepreneuriat féminin en province du Sud-Kivu grâce à la vente des pagnes et la valorisation des déchets textiles d’usine. C’était lors d’une cérémonie tenue ce samedi 26 Avril 2025 en ville de Bukavu
Durant 6 mois , ces femmes et jeunes filles seront coachées par des mentors sur plusieurs notions dont l’élaboration des plans d’affaires , la politique de vente ainsi que l’étude du marché.
Le tout pour aboutir à la vente des pagnes et la valorisation des déchets textiles d’usine suivant la vision de l’initiatrice de la Fondation Faida Faidika Faidisha F3 , Mme Faida Narugeta , vouée à l’épanouissement des femmes et jeunes filles.
Occasion Mme Furahi Citera chef des programmes de la Fondation F3 de préciser ce projet va contribuer à l’indépendance et l’autonomie des femmes et jeunes grâce à ses différents projets.


A cet effet, Mlle Wanny Kalumuna, point focal du projet « Entreprendre avec Capital Zéro», rassure que grâce à la Fondation F3, les bénéficiaires seront accompagnés pour impacter la communauté sur le plan social et économique.
Sentiment de satisfaction pour Mlle Balibuno Patricia, l’une des bénéficiaires qui remercie Mme Faida Narugeta pour cette initiative, qui arrive au moment opportun.
Signalons que ce projet s’inscrit dans le cadre du Programme d’Accompagnement à l’Entrepreneuriat féminin exécuté par la Fondation Faida Faidika Faidisha (F3) dans plusieurs territoires de la province du Sud-Kivu.
RDC/Anniv mort Papa Wemba : « Neuf ans après sa mort, l’émotion est toujours vive», Issa le Rossignol
24 Avril 2016-24 Avril 2025, 9 ans déjà depuis la mort de l’artiste congolais Papa Wemba. A Bukavu , les souvenirs de cet artiste hors pair résonnent encore et sont portés par une génération qui continue de s’inspirer des œuvres de cette icône de la rumba au-delà des frontières africaines
Considéré comme une des figures emblématiques de la rumba Congolaise , Papa Wemba de son vrai nom Jules SHUNGU Wembadio fut aussi un pionnier et un pont entre tradition et modernité.
Sa voix, unique et profonde, a marqué des millions de fans à travers l’Afrique et le monde.
Neuf ans après sa mort, l’émotion est toujours vive
À Bukavu , l’artiste musicien ISSA LE ROSSIGNOL , un jeune passionné de la musique , le considère comme bien plus qu’un artiste.
Pour lui , Wemba reste un modèle, une icône et exemple qui inspire la nouvelle génération.
Pour Issa et beaucoup d’autres artistes, le surnommé « Mzée FULA NGENGE » reste une icône intemporelle.
Ses chansons sont toujours écoutées, ses clips partagés, et son message d’unité, de beauté et de respect des racines reste d’actualité.
A Bukavu , comme ailleurs, les hommages se poursuivent, preuve que les grandes voix ne meurent jamais vraiment.
En rappel, Papa Wemba est né le 14 Juin 1949 à LUBEFU en province du Sankuru, s’est éteint à son dernier concert en 2016 à Abidjan, à l’âge de 66 ans.
Sud-Kivu/Journée de la mode responsable : Z Fashion pour la valorisation des créations locales
Les habitants de la ville de Bukavu sont appelés à valoriser les habits confectionnés localement. Ceci pour contribuer à la promotion des couturiers locaux. Message lancé par la modéliste et fondatrice de la marque Z Fashion , Mme Pascaline Muhemeri, lors d’un entretien avec la RTNK, ce jeudi 24 Avril 2025 , en marge de la journée mondiale de la mode responsable.
Connue pour sa touche particulière avec pour originalité un décor intérieur à base des coussins, sous plat, porte couvercle, cadre issus des tissus pagnes le tout auréolée d’une touche particulière reflétant la beauté africaine.
Mme Pascaline Muhemeri, a depuis quelques années de son mieux pour accorder aux femmes de Bukavu de toute catégorie des tenues pour demeurer élégantes et à l’aise en toute circonstance.
Occasion pour elle d’appeller la population à s’approprier les habits confectionnés localement pour encourager les couturiers à innover d’avantage les différentes créations.
Profitant de la journée mondiale de la mode responsable, Mme Pascaline Muhemeri, appelle les amoureux de la Mode à faire un choix responsable et à porter des tenues qui leurs mettent en valeur.
@__zfashion__
En somme , la journée mondiale de la mode responsable (Fashion Revolution Day) a suscité un véritable changement de mentalité et d’attitude envers la mode , en encourageant les consommateurs à faire des choix plus responsables et durables en matière de mode.
Sud-Kivu : La Pharmakina/Bukavu sensibilise la population sur la lutte contre la malaria
Au Sud-Kivu, un enfant est décédé chaque minute suite à la malaria. Tout est consécutif à l’insalubrité occasionnant le débordement du moustique.
Message de la Pharmakina Bukavu en prélude de la journée internationale de lutte contre la malaria, célébrée chaque 25/Avril.

Cette société déplore que dans plusieurs coins, ils s’observent les eaux stagnantes et des déchets jetés départ et d’autres pourtant source des moustiques.

Raison d’inviter la population à rendre les parcelles propres pour protéger les enfants contre la malaria car chaque jour la malaria tue à travers seulement une piqûre d’un moustique qui ensuite brise toute une famille.
Ce qui nécessite de dormir sous une moustiquaire et de porter des manches longues la nuit afin de prévenir ensuite faire le dépistage régulièrement et se faire soigner ajoute la Pharmakina.

Pour elle, la Malaria tue les rêves avant la vie pourtant personne ne devrait mourir de la malaria car elle est évitable traitable.
Le thème retenu pour cette année est : « le paludisme s’arrête avec nous : réinvestir, réimaginer, raviver ».
SPORT : « Bon cœur contre mauvaise fortune, ainsi le destin en a fait cette saison côté O.C. BUKAVU-DAWA, qui en dépit de tout rend grâce à Dieu»,Manager de l’équipe, Daniel BOJI
Engagés au championnat congolais de football d’Elite , les Kiwembé ont vu leur campagne s’arrêter en cours de route à la suite de la guerre dans l’Est du pays.
Pour savoir comment cette nouvelle a été accueillie et vécue côté BUDA votre rédaction a approché le Manager de l’équipe qui a répondu à une série de nos questions.
Talents d’or : Daniel BOJI, bonjour.
Daniel BOJI: « Bonjour mes frères et bonne fête des pâques.»
Talents d’or : Comment appréciez-vous cette saison où les choses se sont brusquement arrêtées chez vous ?
Daniel BOJI: « Une saison différente de ce que nous avions prévu, mais nous rendons grâce à Dieu pour tous. Nous devons tout accepter le fait que nous ne pourrons pas poursuivre notre mission, qui était de terminer le championnat parmi les six premiers de notre groupe afin de disputer le play-off. Malgré tout, nous remercions Dieu qui nous a protégés durant cette période d’insécurité dans l’Est de notre pays».

Talents d’or: Quelles sont les nouvelles de vos athlètes?
Manager BUDA : « De notre côté, tous nos athlètes ont regagné leurs familles respectives: ceux de Kinshasa sont à Kinshasa, ceux de Bunia à Bunia, ceux de Goma à Goma, et ceux d’Uvira à Uvira. Nous adressons un immense merci à notre président de coordination, qui ne cesse de nous soutenir. Il a tout mis en œuvre pour que tous les athlètes et les membres du staff puissent rentrer dans de très bonnes conditions tout en veillant également au paiement des salaires de chacun.»
Talents d’or: Quand est-il de vos athlètes, joueurs qui s’entraînent ailleurs, notamment dans les clubs kinois?
Manager BUDA : Concernant les joueurs qui s’entraînent actuellement avec d’autres clubs du pays, nous les encourageons et personnellement moi dans cette démarche, car elle leur permettra de rester actifs durant cette période. Nous ne demanderons aucun rond, aucun billet aux clubs qui souhaitent prendre nos athlètes uniquement pour la phase des playoffs. Cependant, nous souhaitons que les choses se passent dans le respect des règles de l’art: que ces clubs approchent officiellement notre direction afin que nous puissions préparer les documents nécessaires »
Talents d’or: Que voulez-vous ajouter à cet entretien?
Daniel BOJI: Bonne chance à toutes les équipes engagées au play-off. Nous espérons que les choses se dérouleront dans de bonnes conditions. Que le meilleur l’emporte et que le fair-play soit le plus grand vainqueur. Aussi un grand merci à nos supporters, et nous reviendrons plus forts pour faire encore mieux la saison prochaine »