L’humanité commémore la journée de la prématurité le 17 Novembre de chaque année . Une occasion de sensibiliser l’opinion publique sur les défis auxquels sont confrontés les bébés prématurés et leurs familles.
Dans un entretien avec la RTNK , la coordinatrice de SOS Prema , précise que
les stress , les traumatismes et les difficultés d’accès aux soins de santé ont des conséquences dramatiques sur la santé des femmes enceintes , qui accouchent prématurément à un rythme alarmant.
Et d’ajouter que les cas de naissance prématurée ont augmenté de manière significative ces derniers mois au Sud-Kivu.
Pour soutenir les mères et prématurés , l’organisation SOS Prema vient d’organiser une descente à Miti Murhesa où elle a payé des factures médicales de certaines femmes et distribué des vivres et non vivres à ces dernières.
A cet effet , Mme Baruti Nsimire Rolande rassure que cette intervention s’inscrit dans l’engagement continu de son organisation à soutenir les nouveau-nés vulnérables et à renforcer la sensibilisation et le plaidoyer auprès des autorités et personnes de bonne volonté sur les défis liés à la prématurité en RDC.

« Nous voulons rappeler et mobiliser surtout mobiliser à travers le média et les réseaux sociaux , de bouche-à-oreille mobiliser la population de la ville de Bukavu que la prématurité est une situation très réelle et que les femmes vulnérables sont réels et elle souffre beaucoup de ses enfants elle rappelle que l’espoir et la ne sont de lux mais un droit suivant la devise de SOS Prima : Aucune famille ne doit perdre sa joie à la naissance d’un bébé et c’est ça notre devoir nous voulons que tout le monde et la joie parce qu’il a eu un bébé »
En rappel, la journée de la prématurité est une occasion pour appeller les gouvernements , la société civile, les équipes de santé et les familles à intensifier leurs efforts en matière de santé néonatale, afin de garantir à chaque bébé né prématurément une chance de survivre et de s’épanouir.
Par Jaël Omari
