Environs 80 cas de violation des droits des journalistes documentés du 2 novembre 2019 au 2 novembre 2020. Ce bilan a été dressé par l’organisation Partenariat pour la Protection Intégré PPI, en marge de la célébration de la journée Internationale de fin de l’impunité et des crimes contre les journalistes.
Le chargé de programme de PPI, Me Pascal Mupenda fustige le fait que des journalistes soient torturé, arrêté, ou que leurs droits soient bafoués dans la province du Sud-Kivu pour avoir exercé leur métier.
Pour lui, en dépit de l’édit portant sur la protection des journalistes et des défenseurs des droits de l’homme, de la loi de 1998, des plusieurs traités internationaux ratifié par la RDC, les cas de violation de ces dispositifs continue à être enregistré.
Le chargé de programme au sein de PPI souhaite voir une presse qui informe en toute indépendance, de manière libre et sans qu’il ait violation de leurs droits.
Notons que la journée du 2 Novembre a été décrété en mémoire Claude Verlon et Ghislaine Dupont, deux journalistes de la RFI tués en cette date au Mali alors qu’ils étaient en reportage