44.355 candidats participent depuis ce lundi aux Examens d’État depuis ce lundi 28 Juillet 2025 . Le vice-gouverneur du Sud-Kivu sous l’AFC-M23 , Dunia Masumbuko Bwenge Doux a procédé au lancement de ces épreuves à l’EP Kashumu dans la commune de Bagira en ville de Bukavu.
Durant quatre jours , ces élèves de la 6 eme année des humanités seront évalués dans les 23 options dispensés en province du Sud-Kivu sur le 50 options disponibles sur toute l’etendue de la RDC.
Occasion pour le proved du Sud-Kivu1 , TOSWESWE LIUNDA Léon , de remercier le clasters de l’éducation pour avoir acheminer les mâles des Items de Kinshasa à Bukavu
Ce dernier a souligné que ces épreuves constituent la dernière étape des épreuves certificatives 2025.
De son côté , l’inspecteur principale de l’éducation Jean-Marie Mwayesi BILEKA remercie les partenaires qui ont sensibilisé pour que le pays s’aligne dans l’Education de la jeune fille.
À d’ajouter que sur 44.355 candidats figurent 49,8% des garçons et 50, 2% des filles ce qui est encourageant pour l’Education de la jeune fille
Présent à cette cérémonie , le vice gouverneur du Sud-Kivu sous l’AFC-M23 , Dunia Masumbuko Bwenge Doux , encourage ces élèves et les invite à l’assiduité pour obtenir les bons résultats.
Ce dernier appelle les responsables des écoles à ne pas faire payer aux finalistes pour participer à ces épreuves et rassure que les élèves déplacés vont passer ces épreuves partout où ils se trouvent
Signalons que ces élèves seront évalués en culture générale , sciences , cours d’options et les langues.
Le tout pour clôturer le cursus scolaire et entamer les études supérieures et universitaires.
La relation entre la France et l’Afrique doit être repensée pour barrer la route au néo-colonialisme et à l’impérialisme. Un appel lancé par les slameurs du collectif Passe-moi le Mike , lors du spectacle Franc sans Fric tenu, le weekend dernier en ville de Bukavu
Après une résidence de création sur l’expression artistique en vue de la création du spectacle Franc sans Fric,
Les slameurs et slameuses du collectif Passe-moi le Mike , grâce aux verts agrémenté par des chants au son de la guitare , ont présenté tour à tour à l’espace Mashujaa Center , Espace Culturel Kwetu Art et ainsi qu’à centre Mot Art , ce spectacle devant différents publics en liesse.
Une manière pour ces jeunes filles et garçons d’appeler la France à redéfinir sa manière de traiter avec les pays africains pour le bien de tous les peuples.
Pour Achille Argus , metteur en scène de ce spectacle , cette relation doit être un partenariat gagnant-gagnant car chaque partie doit avoir à y apporter.
Ce dernier appelle les jeunes africains à travailler pour apporter un plus à la relation france-Afrique.
Signalons que ce spectacle était réalisé avec l’appui l’Ambassade de la France en RDC en partenariat avec l’initiative « Construire Ensemble » en marge du sommet France-Afrique prévue en 2026.
91 personnes souffrant de troubles oculaires viennent de bénéficier des lunettes médicales pour leur bonne vision et la prévention contre cette pathologie à long terme. Parmi eux 30 femmes et 61 hommes résident à Kashusha. C’était lors de la journée santé visuelle tenue par l’organisation Jenga Tumaini grâce à l’appui de l’organisation Allemande Lunettes sans frontières, en début du weekend.
Devant les bénéficiaires , 150 lunettes pimpantes neuves, taillées de manière à faire voir les objets plus grands qu’à l’œil nu et à rendre la vue plus nette et plus distincte.
A travers cette distribution gratuite des lunettes médicales Jenga Tumaini vient résoudre les problèmes de la vision et ceux du santé oculaire à Kashusha dans le territoire de Kabare, fait savoir un ophtalmologue pris en charge par cette asbl.
Ce dernier indique que cette action intervient après l’identification des malades et les consultations médicales.
A lui d’ajouter qu’avant cette distribution tous ont appris l’hygiène des lunettes pour bien les protéger et garantir leur endurance mais aussi bannir l’infection des yeux et maux de tête grâce à ces lunettes.
Un motif de soulagement pour ces hommes et femmes qui avaient du mal à se déplacer, exercer les travaux champêtres moins encore lire ou écrire. Ces derniers remercient l’organisation Jenga Tumaini et ses partenaires pour cette action qui arrivent au moment opportun.
Occasion pour la directrice de l’asbl Jenga Tumaini d’inviter les bénéficiaires à garder ces lunettes en bon Père de famille. Pour Micheline KWIGOMBA, ces lunettes médicales avec des montures iconiques offrent également le style et confort aux bénéficiaires.
Cette opération intervient grâce à l’appui de l’organisation Allemande Lunettes sans frontière via Jenga Tumaini pour le don généreux de lunettes médicales.
Avec sa devise : donner espoir, construire l’avenir et éduquer. JENGA TUMAINI intervient dans plusieurs domaines parmi lesquels : la formation professionnelle, la prise en charge gratuite et scolarisation des enfants vulnérables, l’agronomie, l’entrepreneuriat et la promotion de la jeunesse, le département de la musique, l’académie de basket. Dans l’avenir : construire une école secondaire, un hôpital et autres.
Les mobilisateurs communautaires des territoires de Kabare et Kalehe viennent d’être outillés en matière de sensibilisation sur l’égalité des sexes et les normes sociales néfastes. C’était lors des séances d’atelier organisées par Mwanmake Kesho Asbl dans le cadre du projet « Wasichana na Amani » financé par Kvinna et le Fonds des Nations Unies pour la consolidation de la paix, au cours du mois de Juillet 2025 dans ces entités de la province du Sud-Kivu.
A Kabare suivant l’approche SaSa Together, les facilitateurs ont utilisés des activités de jeux de rôle et des scénarios pour explorer des thèmes essentiels tels que le pouvoir intérieur , la violence et l’inégalité.
Pour Mme Grâce Maroy , ces activités ont permis aux participants d’identifier des moyens et des stratégies concrets pour relever les défis auxquels font face leurs communautés.
Et d’ajouter que les leaders communautaires ont été formés aux approches pratiques pour aider les personnes dans le besoin et promouvoir un changement positif.
« Nous souhaiterions sensibiliser la communauté en général , mais en raison des contraintes de moyens et du contexte, nous avons ciblé les mobilisateurs communautaires (…) Ils seront les relais pour diffuser ces messages auprès d’autres membres de leur communauté. Nous espérons que les enseignements reçus transformeront les mentalités et apporteront des changements»
De son côté, Mme Dorcas Furaha, membre de l’organisation Aspropd se réjouit de cette formation et s’engage à mettre en pratique les matières apprises.
« Après avoir suivi cette formation de trois jours sur l’approche SASA! Together’, nous nous engageons à sensibiliser nos proches et d’autres personnes sur ce que nous avons appris, afin de réduire les inégalités de sexes. Nous nous sommes engagés à changer nos propres habitudes d’abord, pour que la communauté puisse s’inspirer de nous».
Après le territoire de Kabare, l’organisation Mwanmake Kesho a tenue d’autres ateliers en territoire de Kalehe.
Devant les mobilisateurs communautaires , Ingénieure Thérèse Esther kasongo et Mme Lydie Zihalrwa , ont souligné le besoin crucial de soutien communautaire pour amplifier la voix des jeunes femmes dans la consolidation de la paix et la politique.
« Les discussions ont été animées et ont souligné le rôle essentiel des leaders communautaires dans la promotion d’un environnement inclusif. (…) Maintenant , nous mettons en œuvre notre stratégie en trois phases: en commençant par Start, suivi de la sensibilisation , puis de l’accompagnement» indique Mme Grâce Maroy
Signalons que ces séances de sensibilisation s’inscrivent dans le cadre des efforts de l’organisation Mwanmake Kesho visant à promouvoir l’égalité des genres et à déconstruire les normes sociales néfastes dans la communauté.
L’Institut Supérieur de Techniques Médical ISTM/Bukavu est appelé à former les étudiants et enseignants à l’usage des outils d’intelligence artificielle. Ceci pour limiter ses dérives et bannir ses inconvénients dans le domaine de la santé. Recommandation formulée lors d’une conférence tenue jeudi 24/Juillet autour de la recherche documentaire en santé et sciences infirmières à l’ère de l’intelligence artificielle.
Utilisée à tort par certains enseignants et étudiants, l’intelligence artificielle connaît plusieurs défis et limites avec les résultats erronés, imprécis et trompeurs issus de l’IA.
Parmi ces défis et limites le conférencier note les plagiats, textes générés sans fondement scientifique, la perte de réflexivité, l’accès limité et inégal, pour ne citer que cela.
Tout en soutenant l’intelligence artificielle, le PhD François Kajiramugabi de l’Université Montréal au Canada recommande à l’ISTM/Bukavu d’intégrer ces outils dans l’enseignement de la méthodologie de recherche dès la licence et nouer de partenariat académiques avec des institutions ayant déjà expérimenté des approches afin de limiter ces dérives.
« _c’est un outil important et l’ISTM/Bukavu a des ressources humaines compétentes capable de propulser et d’intégrer l’IA dans toutes les pratiques des soins pour l’amélioration de la formation en santé et la prestation de soins que ce soit infirmier de soins de santé communautaire_ »
Un besoin exprimé par le DG de l’ISTM/Bukavu. Professeur Célestin KYAMBIKWA envisage d’abonner son institution à certaines bases de données pour amener les enseignants et étudiants à accéder aux données probantes et ensuite utiliser l’intelligence artificielle avec précaution.
« _Nous avons jugé bon que nous puissions partager cette expérience afin de surmonter les défis et limites de l’IA utilisée à tort et à travers par certains enseignants et étudiants. Vraiment il y a un besoin et nous allons dire aux enseignants que pour le moment cet outil doit être bien utilisé après la formation_ »
Ils sont sûrs que la maîtrise et l’utilisation rationnelle de l’intelligence artificielle va permettre d’exploiter les données de manière plus poussée pour développer un enseignement sur mesure et automatiser les activités de base dans l’enseignement comme les évaluations.
L’organisation Mwanamke Kesho Asbl vient de renforcer les capacités des jeunes femmes, membres d’organisations locales pour accroître leur participation et leur rôle dans le leadership et consolidation de la paix . Tel est l’objectif d’un atelier organisé par Mwanamke Kesho Asbl en territoire de Kalehe dans le cadre du projet Wasichana Na Amani soutenu par le Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la Paix (UNPBF) et Kvinna till Kvinna Foundation.
Lors de ces sessions d’ateliers qui ont réunies 50 jeunes femmes motivées et désireuses d’explorer et de développer leur potentiel , il a été question d’outiller ces dernières sur différentes thématiques dont les techniques de plaidoyer , le lobbying en lien avec l’agenda jeune paix et sécurité , le leadership transformationnel le mentor et réseautage , la gestion et transformation de conflits ainsi que les droits des femmes, l’égalité de genre et les résolution 2250 et 1325.
Pour Mme Grâce Maroy, coordinatrice de Mwanmake Kesho Asbl , grâce à cet atelier les femmes vont devenir des actrices de la consolidation de la paix de leurs communautés.
« Nous croyons fermement que les jeunes femmes doivent être incluses non seulement en tant que participantes, mais aussi en tant que leaders capables d’apporter des contributions significatives à une paix durable (…) Lorsqu’ils sont inclus dans des initiatives de consolidation de la paix , il ne s’agit pas seulement de représentation; Il s’agit de remettre activement en question les normes sociales qui ont historiquement marginalisé leurs voix »
Et de poursuivre :
« Les jeunes femmes apportent des perspectives et des solutions uniques , ce qui rend leur participation essentielle pour parvenir à une paix durable ; Il est crucial de les responsabiliser afın qu’ils puissent jouer un rôle actif et significatif dans la consolidation de la paix au sein de leurs communautés»
Cette dernière se réjouit du fait que , les participants se sont engagés dans des discussions enrichissantes sur les qualités de leadership efficaces et ont pratiqué des techniques de résolution de conflits à l’aide de scénarios interactifs.
Au cours de la séance, les participantes se sont engagées dans des scénarios interactifs, y compris des activités de plaidoyer avec Madame la ministre, ce qui en fait une expérience vraiment inoubliable. Il est inspirant de voir des jeunes femmes se mobiliser et prendre les choses en main dans leurs communautés, mettant en lumière leur travail, leurs luttes, leurs défis et leurs perspectives.
« Nous espérons que cette initiative ne restera pas seulement dans le domaine des scénarios , mais qu’elle se reflétera dans la vie réelle, où les jeunes femmes sont de plus en plus reconnues et incluses dans les processus décisionnels . Grâce à Wasichana Na Amani, les jeunes femmes sont en première ligne, prenant les choses en main ».
Signalons que cet atelier s’inscrit dans le cadre du projet Wasichana Na Amani financé par Kvinna till Kvinna Foundation et l’UNPBF. Un projet mis en œuvre depuis 2024 à Kabare et Kalehe par mwanamke kesho.
Ces activités tenues à Kalehe interviennent après celles tenues à Kabare à l’intention de 50 jeunes autres jeunes femmes.
Les morts ne se reposent plus en paix aux cimetières de la Ruzizi en ville de Bukavu . En plus de la spoliation , les dernières demeures sont depuis un temps , victimes du vol des croix et de tout contours métalliques des tombes. Un constat dressé par le reporter de la RTNK et des sources sur place ce mardi 22 Juillet 2025.
Situé en commune d’Ibanda dans la ville de Bukavu , les cimetières de la Ruzizi figurent parmi les rares lieux réservés au repos des morts après la fermeture des cimetières de la Brasserie , la spoliation et la saturation des autres cimetières encore opérationnels à Panzi , Bagira et les environs de la ville de Bukavu.
Malheureusement depuis un temps , ces cimetières situées en plein centre ville de Bukavu , fait face au vol des croix , carreaux et d’autres contours des tombes.
Des sources sur place , précisent que des jeunes et d’autres personnes de mauvaise volonté s’adonnent au vol de tout métal se trouvant sur les tombes.
Et d’ajouter que cette situation serait favorisé par des maisons qui achètent des mitrailes dit « Mabende » et des personnes de mauvaise volonté à la quête de l’argent facile.
Des actes condamnés par plusieurs familles , qui trouvent les tombes de leurs proches profanées malgré leurs efforts dans la protection de ces dernières
Ces hommes et femmes plaident pour la sécurisation des tombes en vue de garder les traces des personnes qui leurs sont chères.
Face à cette situation , plus d’un observateur plaident pour la sécurisation du cimetière de la Ruzizi et des sanctions exemplaires aux auteurs de cette pratique.
Également , ces derniers appellent les acheteurs des mabende à la prise de conscience et à ne plus acheter les croix et d’autres métaux venant des cimetières.
« Que chacun de nous s’imagine ce qu’il sentirait en lui si ces constructions étaient celles de son être puisque les gens courent derrière les croix métalliques» s’indigne le responsable de la société B.A.C.D.I Sarl, qui estime qu’il est temps de mettre fin à cette pratique.
Ce dernier appelle la population à faire preuve de responsabilité en denonçant ces cas au +243 999471139
En rappel , le cimetière de Ruzizi reste le principal lieu destiné au repos des morts et accueille le plus grand nombre des défunts de 20 quartiers de la ville de Bukavu
Redynamiser les activités de la Fondation Moïse NABASHASHU MANENO (FOMAN) et doter les communautés locales des connaissances pratiques pour améliorer la sécurité alimentaire dans leurs milieux. Ceci figurent parmi les objectifs d’une rencontre organisée par cette structure philanthropique le jeudi 18 juillet 2025 dans la ville de Bukavu.
Venus de différents coins du territoire de Kabare et de la ville de Bukavu , plusieurs hommes et femmes ont pris part à une session de formation axée sur les bienfaits de l’agriculture durable et responsable.
A cette occasion , le professeur Bwihangane Birindwa , le facilitateur du jour, a souligné l’importance de l’agriculture comme levier de développement local et de lutte contre la malnutrition.
Ce dernier encourage les participants à capitaliser sur les techniques abordées, notamment la sélection des semences et la gestion des sols.
De son côté, le Dr Moïse Nabashashu, président du conseil d’administration de la fondation qui porte son nom, précise que, bien que le projet soit encore à l’étape théorique, il a pour ambition de contribuer significativement à la réduction de la malnutrition aiguë dans les milieux ruraux.
Ce dernier annonce la distribution imminente des semences aux distribuées aux participants à cette formation
Le tout pour marier la théorie à la pratique et barrer la route à la malnutrition dans leurs communautés.
Signalons que la Fondation Moïse Nabashashu (FOMAN) intervient , depuis plusieurs années, dans divers secteurs sociaux dont la santé, l’éducation , l’entrepreneuriat et l’agriculture, touchant plusieurs territoires du Sud-Kivu avec pour objectif commun l’amélioration des conditions de vie des populations rurales.
La Direction du Développement et de la Coopération Suisse , DDC vient de clôturer avec succès la deuxième cohorte de la Formation par Apprentissage Dual (FAD) dans le cadre de son programme PROMOST IV ( Promouvoir le développement des compétences orientés vers les besoins du marché et création d’emplois dans la région des Grands Lacs), mis en œuvre en RDC par Swisscontact.
À cette occasion , une centaine des jeunes lauréats FAD ont obtenu des attestations de réussite et d’autres des encouragements actifs à l’épargne. C’était lors d’une cérémonie organisée le vendredi 18 juillet 2025, dans la ville de Bukavu.
Durant 18 mois , ces jeunes filles et garçons , venus des différentes parties de la ville de Bukavu ont été formés en Coupe & Couture, Plomberie Sanitaire Domestique et en Cuisine & Service en salle.
Des formations dispensées au Centre Olame et au Centre SOS, suivant un processus rigoureux de Validation des Acquis Professionnels (VAP) et des évaluations continues en centre de formation et en entreprise ainsi que des évaluations finales pratique et théoriques sous l’oeil d’un jury composé d’évaluateurs externes, des formateurs des centres et des professionnels des métiers.
Le tout avec une touche particulière mettant un accent sur la corrélation entre la théorie apprise au centre de formation et la pratique en entreprise, soulignant le rôle clé du secteur privé dans leur qualification.
D’une pierre deux coups, ces jeunes filles et garçons ont été outillées sur l’autonomie économique grâce à la formation sur l’éducation financière.
A cet effet, Swisscontact a mis en place un projet d’encouragement actif à l’épargne . Un mécanisme innovant visant à renforcer l’autonomie financière des jeunes.
Pour encourager ces jeunes, Swisscontact , a doublé l’épargne individuelle de 28 jeunes jusqu’au montant maximum de 200 dollars américains : « A condition que ces fonds soient investis dans l’achat d’outils ou comme capital de départ pour lancer leurs activités. Une démarche concrète pour faciliter leur intégration durable sur le marché du travail ou de l’auto-emploi» indique la communication de Swisscontact.
Présent à cette cérémonie, le Directeur Pays de Swisscontact, Thierry Lenoir, se réjouit de la clôture de cette formation qui va contribuer au développement local et à la lutte contre le chômage des jeunes.
«Aujourd’hui , je suis vraiment satisfait de la formation par apprentissage dual qui a une très haute qualité. Grâce à cette formation qui a duré 18 mois, on a réussi à mettre sur le marché une main d’œuvre qualifiée, à les voir on est vraiment satisfait»
De son côté, le Directeur de la Coopération Suisse, Thomas Jenatsch , encourage ces jeunes formés en métier et appelle les autres partenaires à soutenir la formation professionnelle en RDC. Ceci pour former des jeunes productifs et utiles à la communauté.
« Il faut que ces projets ne soient pas seulement portés par la Suisse mais aussi par d’autres bailleurs, donc nous sommes en train de voir s’il y a d’autres bailleurs qui sont prêts à porter, à diviser les coûts pour ces projets qui sont assez coûteux. Ce sont des formations à longue durée avec des bons formateurs. C’est quelque chose de très solide , très bien fait mais il faut d’abord avoir un soutien large au-delà de la Coopération Suisse. On invite les autres partenaires à participer à la formation professionnelle avec Swisscontact», a indiqué Thomas Jenatsch.
« Après cette formation , nous sommes des créateurs d’emplois et non des demandeurs d’emplois. Actuellement, je peux mieux travailler dans la Cuisine suivant le standard international. Nous remercions la coopération suisse et Swisscontact » se réjouit un lauréat.
Sentiment de satisfaction pour les participants qui s’engagent à exercer les différents métiers pour leur autonomie et participer ainsi au développement de la RDC.
Signalons que cette cérémonie a connu la présence des acteurs clés du système de l’Enseignement et de la Formation Technique et Professionnelle (EFTP), le représentant de la division de la formation professionnelle et métiers, les parents des lauréats et d’autres partenaires venus pour la circonstance.
Environ 71.955 candidats participent depuis ce jeudi au Test national de sélection et d’orientation scolaire et professionnelle (TENASOSP) , depuis ce jeudi 17 Juillet 2025. Le gouverneur du Sud-Kivu sous l’AFC-M23 , Patrick Nshombo Busu bwa Ngwi vient de procéder au lancement de ces épreuves au lycée Wima dans la ville de Bukavu.
Durant deux jours , ces élèves de la 8 eme année éducation de base seront évalués en Mathématiques , ECVT , ESPT Éthiques , tests d’intérêt et en langues ainsi que dans les tests d’aptitude.
Occasion pour le directeur de l’éducation du Sud-Kivu, de rassurer que les élèves en déplacements vont passer ces épreuves là où ils se trouvent sans aucun frais.
A cet effet , ce dernier appelle les parents à dénoncer tout celui qui ira à l’encontre de cette mesure.
De son côté , Mme l’inspecteur principale de l’éducation remercie les partenaires pour leurs efforts dans l’acheminement des mâles dans les sous-divisions.
Occasion pour elle d’appeller les élèves à la confiance en eux et l’assiduité dans la passation de cet examen national.
Présent à cette cérémonie , le gouverneur du Sud-Kivu sous l’AFC-M23 , Patrick Nshombo Busu bwa Ngwi , encourage ces élèves et à la discipline pour obtenir des bons résultats
Signalons que ces élèves venus de 1 567 écoles , sont repartis en 183 centres de passation dont 56 centres dans la ville de Bukavu et 127 dans les 16 sous-division de la province éducationnelle Sud-Kivu 1.