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Bukavu : Le CS Nova Stella donne aux parents la possibilité de payer les frais scolaires par tranche à partir de 1000 FC par jour

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Au Sud-Kivu, les parents d’élèves à Bukavu et dans les territoires rencontrent des grandes difficultés pour le payement des frais scolaires de leurs enfants.

Cela depuis un temps non négligeable suite à la situation financière précaire consécutive à la guerre dans l’Est de la RDC. Un constat du reporter de la RTNK

Approché le Complexe Scolaire Nova ce jeudi 22/Mai/2025, dit avoir développé des stratégies permettant aux parents moins nantis de payer les frais scolaires sans beaucoup de difficultés.

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Il s’agit du payement à la carte, à partir de 1000fc, 2000fc ou 5000fc par jour et à la fin de la semaine afin de couvrir les frais scolaire à la fin du mois ou encore du trimestre.
Le seul objectif est de palier la situation financière précaire dans plusieurs familles indique le promoteur de ladite école Albert JOMBA.

A lui d’ajouter que la comptabilité analyse la totalité de l’argent qui est versé dans la caisse de l’école à chaque fin du mois afin de garantir la scolarité des enfants.

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« C’est une façon de permettre aux parents moins nantis de payer les frais scolaires sans beaucoup de difficultés. Ainsi nous sommes en train de prôner une franche collaboration entre les parents et l’école parce que payer les frais scolaires aujourd’hui est devenu très difficile pour plusieurs parents. » indique Albert Jomba

Le promoteur du Complexe Scolaire Nova Stella, appelle aussi les enfants à bien suivre leurs leçons afin d’obtenir de bons résultats à la fin de l’année, pour soulager les parents qui souffrent à la recherche des frais scolaires.

Avec 5 sections organisées dont : la pédagogie générale, la technique sociale, commerciale et gestion, la section scientifique et la construction ou bâtiment, le CS Nova Stella compte étendre ses actions à travers l’ouverture des succursales dans les 3 communes de Bukavu.

Par Eric CHOKOLA et Raïssa NAMASHUNJU

Bukavu : La Fondation F3 assiste le Centre de Formation Linda label 1 de Panzi dans le cadre du projet « Entreprendre avec capital zéro »

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La Fondation Faida, Faidika, Faidisha (F3) offre au centre de formation professionnelle, art et métiers Linda Label 1 des pagnes et matériels . Ceci pour faciliter la formation des femmes et jeunes filles en métiers pour leur autonomie.

C’était lors d’une visite organisée par une délégation de la Fondation F3 dans le cadre de son projet «Entreprendre avec capital Zéro»

C’est dans un climat de joie , que les femmes et filles du centre de Formation, Art et Métiers Linda label 1 de panzi dans la commune d’Ibanda , ont accueilli la délégation de la fondation Faida, Faidika , Faidisha.

Cette visite centrée sur la prise de contact et le partage d’expérience, s’inscrit dans le cadre du programme d’accompagnement à l’entrepreneuriat féminin, indique Mademoiselle Wani KALUMUNA , responsable du projet « Entreprendre avec le capital zéro » au sein de la Fondation F3.

Le moment fort était les échanges entre les bénéficiaires de ces formations et la délégation du F3 suivis de la remise des pagnes et autres matériels didactiques pour la coupe et couture.

Sentiment de satisfaction pour le Centre Linda label 1 qui poursuit les mêmes objectifs avec la Fondation F3, chère à Mme Faida Narugeta , qui prônent l’autonomisation de la femme.

A cet effet, Mme Chiba CICURA DETECTIVE représentante du centre linda label 1 remercie l’initiatrice de la fondation F3 pour ses différentes actions en faveur des personnes vulnérables.

Signalons que dans son programme d’accompagnement à l’entrepreneuriat féminin , la fondation Faida, Faidisha faidika exécute un projet pilote « Entreprendre avec capital zéro», pour relever les femmes et contribuer à la protection de l’environnement par la valorisation des déchets textiles.

Sud-Kivu/Crise à l’ISTM : Le comité de gestion prêche la paix et la collaboration étroite

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Le Comité de gestion de l’ISTM/Bukavu exhorte les membres de sa communauté à privilégier la paix, à faire preuve de responsabilité et à accompagner les efforts déployés pour garantir une fin d’année apaisée et productive. Ceci après une vive tension occasionnée par les étudiants qui ont manifesté pour dénoncer la mauvaise gestion administrative et la hausse continue des frais académiques mardi 20/Mai dernier.

Une précision de taille après la matinée d’agitation à l’entrée de l’ISTM/Bukavu. Sur place les pneus ont été brulés, pour dénoncer la situation que les étudiants jugent insoutenable.

Ces étudiants fustigeaient ce qu’ils qualifiaient de la mauvaise gestion et l’augmentation constante des frais académiques alors que les conditions d’apprentissage ne cessent de se détériorer.

En réaction, le Comité de gestion de l’ISTM/Bukavu déplore ces intoxications et rassure sur le bon déroulement du calendrier académique, fruit d’un dialogue constructif avec les représentants des étudiants et les chefs de promotions.

Contacté par la RTNK le Directeur Général de l’ISTM/Bukavu, renseigne que depuis la reprise des activités académiques en février 2025, plusieurs avancées notables ont été réalisées grâce à une collaboration étroite entre les autorités académiques, les représentants des étudiants et les différents partenaires de l’établissement.

Professeur Christophe MASUMBUKO, souligne que ces échanges, placés sous le signe de l’écoute et de la responsabilité partagée, ont permis d’aboutir à un consensus sur le calendrier académique.

Le tout dans la transparence, la bonne gouvernance et le dialogue continu, gage de la paix qui doit pousser chacun de son coté à accompagner les efforts de stabilisation de l’année académique.

Lui et son comité de gestion confirment ainsi le maintien des examens du premier semestre de l’année académique 2025-2026, qui débuteront ce jeudi 22 mai 2025 et invitent les étudiants à se préparer dans le calme et la concentration.

En somme, ils réaffirment leur engagement en faveur de la transparence, de la bonne gouvernance et du dialogue permanent avec l’ensemble des parties prenantes.

Par Eric CHOKOLA

Culture : L’artiste JMB Beaugoss prêche la paix et la cohésion sociale dans son nouvel album Kabonwa

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« Kabonwa », c’est le nouvel album de l’artiste JMB Beaugoss. Un album dans lequel ce jeune artiste lance un cri d’alarme aux représentants du peuple pour défendre les droits et porter haut la voix du peuple.
Précision faite dans un entretien avec le reporter de la RTNK mardi 20/Mai.

Il s’agit d’un rappel à certaines autorités qui semblent avoir oublié la mission sacrée qui leur avait été confiée par leurs électeurs.

Dans cet album, JMB Beaugoss déplore le fait que ces dernières se soient éloigné des préoccupations du peuple, trahissant ainsi la confiance de ceux qui les avaient envoyées au front pour les représenter.

Pour lui, le pouvoir ne doit jamais être un moyen de se servir, mais de servir le peuple. Ceci pour permettre le décollage du Pays et ramener la paix sur l’ensemble du territoire.

Âgé de 24ans, ce jeune artiste estime qu’il est temps aux autorités d’œuvrer pour l’intérêt du peuple à travers l’investissement local pour favoriser le développement du Pays.

Et d’ajouter que Kabonwa dispose 8 chansons déjà disponibles sur internet parmi lesquelles, Ndugu, Kadogo, Wivu, Tena, No body et autres. Toutes transmettent un message de l’unité, la paix, la cohésion et le développement.

La sortie de cet album intervient alors que l’Est de la RDC reste déchiré par la guerre qui oppose les forces armées de la RDC au mouvement de l’AFC/M23, des conflits politiques départ et d’autres ainsi que l’impunité.
D’où l’importance d’une interpellation pour chercher une voie de sortie à cette situation dans plusieurs parties de la RDC

Par Eric CHOKOLA

Sud-Kivu/Journée des abeilles : Les apiculteurs alertent sur la mortalité des abeilles suite à l’usage incontrôlé des pesticides

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Les abeilles sont en danger dans la Province du Sud-Kivu. Ceci suite à la déforestation et les déboisements, pourtant véritables réservoirs de la biodiversité.
L’alerte est du monde d’abeilles en marge de la célébration de la journée mondiale des abeilles le 20/Mai.

Un cri du cœur pour la prise de conscience en vue d’un avenir radieux où l’environnement devient profitable aux générations présentes et futures en RDC.

Pour le monde d’abeilles, c’est un coup dur aux apicultures qui décrivent l’augmentation de la mortalité des abeilles en province. Le tout consécutivement à l’usage incontrôlé des pesticides, la déforestation massive, les feux de brousse, le brassage des boissons.

Des phénomènes qui tuent les abeilles occasionnant leur trafic et les effets du changement climatique fait savoir le Directeur Général du monde d’abeille.

« Sans les abeilles, la nature s’appauvrirait, les champs se videraient, et l’avenir serait sérieusement menacé. J’estime qu’il est important d’éviter l’usage des pesticides chimiques nuisibles aux abeilles et ensuite promouvoir des alternatives agro écologiques. Ce qui va passer par l’association de l’apiculture à l’agriculture tout en favorisant l’amélioration de la productivité agricole et apicole » indique Dieu Merci MAHANO.

A lui d’ajouter que l’apiculture se présente comme une source de revenus alternative précieuse pour les communautés rurales. Ceci avec les produits de la ruche comme le miel, la cire et la propolis utiles à la nutrition, la médecine et la commercialisation.

En plus du rôle d’assurer la production des fruits, légumes et graines que joue l’abeille. Il permet également aux écosystèmes de rester en équilibre.

« C’est une raison pour le monde d’abeille d’inviter chacun où qu’il se trouve à devenir un ambassadeur des abeilles afin que le Sud-Kivu devienne une terre où les abeilles prospèrent, où les fleurs abondent, et où les hommes vivent en harmonie avec la nature » conclut le monde d’abeilles.

Le thème mondial retenu pour l’an 2025 est : « Butinons les idées de la nature, notre mère nourricière »

Par Eric CHOKOLA

RDC : Le bien-fondé du préscolaire au centre d’une séance de sensibilisation organisée par l’OMEP-RDC et l’IPP Kwilu 2 à Kikwit

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Tenue ce mardi 20 mai 2025 dans la salle de réunions de la province de Kwilu, dans la ville de Kikwit , d’une conférence débat sur le pourquoi du préscolaire. Co-organisée par l’Organisation Mondiale pour l’Éducation Préscolaire (OMEP-RDC) et l’inspection principale provinciale de l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté Kwilu 2. Cette activité vise la mobilisation des communautés en faveur du préscolaire.

Selon l’expert et inspecteur principal OTTO Michel qui était l’orateur principal, le préscolaire est le moteur du développement de la communauté.

« Il était donc de notre responsabilité en tant qu’expert et inspecteur de pouvoir sensibiliser les leaders communautaires ainsi que toute la société sur comment est-ce qu’on peut développer la communauté. La province, la ville ont des problèmes de gestion d’érosion et tout ce que vous connaissez là, mais la solution ne peut venir uniquement que du préscolaire en y investissant sérieusement dès le jeune âge de l’enfant» a-t-il précisé.

Selon OTTO Michel, le préscolaire est certainement méconnue, mais l’OMEP-RDC fait confiance à la presse et aux leaders communautaires, tous unis comme un seul homme ont la responsabilité de partager le message, comme c’était le cas de Jésus avec ses douze apôtres.

« Nous avons la conviction ferme que la communauté apprendra ce que c’est le préscolaire et enverra beaucoup d’enfants vers le préscolaire pour le développement de la communauté

La province du Kwilu regorge à elle seule 500 écoles maternelle de l’État mécanisées payées, alors qu’il y a des provinces entières qui n’ont même pas une seule école maternelle de l’État.

« Ça ne suffit pas, il faut continuer à travailler en ratissant large pour avoir plus d’écoles, mais les écoles de qualité cette fois-ci.
Qui veut peu, quand on veut, on peut »
a conclu l’expert Michel OTTO.

RDC : Les évêques de la CENCO alertent sur la détérioration des conditions de vie de la population dans l’Est suite à la fermeture des Banques et des aéroports

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Les évêques de la conférence nationale épiscopale du Congo(CENCO) alertent sur l’impact humanitaire et la dégradation alarmante des conditions de vie orchestrés par la fermeture des banques et aéroports dans l’Est de la RDC, actuellement sous contrôle du mouvement AFC / M23.

Ces derniers appellent à une intervention rapide des autorités compétentes. Ils l’ont exprimé dans une déclaration adressée à l’opinion nationale et internationale dont copie nous est parvenue ce Lundi 19 Mai 2025.

Dans un message adressé à l’opinion nationale et internationale , les prélats dénoncent les conséquences désastreuses de la fermeture des banques et des aéroports dans ces zones, qui exacerbe la misère d’une population déjà fragilisée par des années de conflits.

Une population privée de ses ressources depuis plusieurs semaines , les institutions financières , notamment à Bukavu ,Goma et dans d’autres territoires sous contrôle par l’AFC /23 ont cessé de fonctionner.

La CENCO ajoute que les banques commerciales, ainsi que les guichets de la Banque Centrale du Congo, ont fermé leurs portes, rendant impossible l’accès aux comptes bancaires pour des milliers de familles.

Selon les évêques de la CENCO , cette situation a plongé les habitants dans une crise économique aiguë : impossibilité de retirer de l’argent , paralysie des entreprises locales , montée vertigineuse des prix des produits de première nécessité.

A cette crise bancaire s’ajoute l’isolement croissant de la région, fermeture de l’aéroport international de Goma, principal point d’entrée pour les marchandises et l’aide humanitaire en provenance de Kinshasa ou de l’étranger, bloque non seulement les flux économiques, mais entrave aussi la réponse humanitaire.

Les vivres et produits pharmaceutiques se raréfient, et les routes d’accès alternatives sont jugées peu sûres ou impraticables.

Dans un contexte de pénurie monétaire, les autorités du Mouvement AFC/ M23 ont annoncé la réouverture d’une institution financière locale, la CADECO (Caisse d’épargne et de crédit du Congo), avec à sa tête de nouveaux gestionnaires nommés par le mouvement.

Cette initiative, censée relancer une économie locale à genoux, est accueillie avec scepticisme par les opérateurs économiques et la population, qui craignent pour la sécurité de leurs dépôts dans une institution contrôlée par un pouvoir non reconnu.

Face à cette situation de crise multiple, la CENCO appelle le gouvernement , les partenaires internationaux, ainsi que les organismes humanitaires à prendre des mesures urgentes pour rétablir l’accès aux services essentiels dans les territoires affectés.

Signalons que ça fait quelques mois que la population de l’Est de la RDC fait face à plusieurs conséquences orchestrées par la fermeture des banques et aéroports ,

D’où l’importance de l’implication des autorités compétentes.

Sud-Kivu : L’organisation ATD Quart Monde commémore la journée de la famille

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Communier avec les familles dans l’extrême pauvreté, redonner de l’espoir pour un avenir meilleur aux habitants du Sud-Kivu. Tel est l’objectif d’une rencontre organisée par l’Organisation ATD QUART MONDE au foyer Ekabana en commune de Kadutu le weekend dernier en marge de la Journée Mondiale de la famille.

C’est dans une ambiance chaleureuse que les enfants Tapori , les membres de l’organisation ATD QUART MONDE ont communié avec plusieurs familles venues pour assister à cette rencontre.

Dans ces assises , plusieurs personnes ont défilé sur l’estrade pour apprendre aux enfants, jeunes et parents sur le rôle de la famille dans la société actuelle.

A cette occasion, OBEDI AGANZE Membre de la délégation nationale de cette organisation, indique que la famille reste un milieu par excellence pour l’éducation des enfants et le développement de toute la communauté.

Malgré la situation actuelle marquée le traumatisme liée à la guerre à l’Est de la RDC, ce dernier appelle toute la population à instaurer l’unité et l’amour en famille.

Le tout pour rendre la famille
le pilier du développement collectif.

Il sied de noter que ces échanges se sont tenus sous plusieurs thèmes dont le principal était : « Un monde une famille : construire des ponts entre les générations».

Par Antoine Ruhamya

Bukavu : Des jeunes mobilisés pour la protection des écosystèmes grâce à l’assainissement du littoral du lac Kivu

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Assainir le littoral du lac Kivu en particulier et toute la ville de Bukavu en général. Tel est l’objectif d’une campagne active organisée par le réseau des jeunes professionnels de l’eau et de l’assainissement tenue ce samedi 17 Mai 2025 en ville de Bukavu.

Dans un contexte marqué par l’insalubrité grandissante en ville et particulièrement sur le littoral du lac Kivu , les jeunes du réseau des jeunes professionnels de l’eau et de l’assainissement s’engagent activement à travailler pour résoudre ce problème de santé publique.

Munis de sacs et autres outils de travail , ces jeunes se sont engagés à ramasser les déchets plastiques sur le littoral du lac Kivu au marché Bondeko en commune de Kadutu.

A cette occasion Nelson ZAGABE, Président de cette association, appelle les habitants de Bukavu à une gestion responsable de déchets plastiques afin de protéger l’écosystème.

Aux jeunes, ce dernier demande de se joindre à eux pour barrer la route à ce fléau et accorder aux générations futures une terre où il fait beau vivre.

Il sied de noter que le réseau des jeunes professionnels de l’eau et de l’assainissement est un collectif des jeunes issus de plusieurs autres associations qui militent pour la conservation de la nature.

Par Antoine Ruhamya

Sud-Kivu : La valorisation des personnels de soutien à l’éducation et le vivre ensemble au centre d’une célébration

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Les acteurs impliqués dans l’éducation au Sud-Kivu sont conviés à travailler main dans la main pour valoriser les personnels de soutien à l’éducation et ensuite marier le vivre ensemble en paix à travers l’éducation des enfants. Appel lancé le weekend dernier lors d’une triple commémoration de la journée mondiale des personnels de soutien à l’éducation, celle du vivre ensemble en paix et la journée mondiale de la lumière.

Cette triple commémoration donne de la valeur au vivre ensemble et concours à la promotion de l’éducation des enfants.
Les commémorations qui marient le lien direct avec l’amélioration de la qualité de l’éducation offerte aux enfants.

Cikuru Mufariji, Directeur général de l’Ecoles de formation des accompagnateurs scolaires estime qu’il est impérieux que les intervenants dans le secteur de l’éducation unissent les efforts ensemble pour le rayonnement de l’éducation au Sud Kivu.


Le tout à travers le soutien de la communauté des accompagnateurs scolaires.

Prenant la parole, Alexandre Mbwenge Kimbunde, Secrétaire administratif à la Direction provincial de l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté et représentant du Proved, salue l’initiative de la création de la CAS et souhaite voir d’autres acteurs s’en approprier car l’éducation des enfants est une affaire de tous.

Occasion pour Emmanuella Bahindwa, journaliste membre du RJAE et encadreur chez Watoto News de démontrer qu’il y a une corrélation entre le vivre ensemble en paix et l’éducation des enfants.
Ceci car le vivre ensemble en paix contribue à une meilleure qualité de l’éducation des enfants et leur épanouissement.

Il sied de noter que la commémoration de la journée mondiale dédiée aux personnels de soutien à l’éducation a coïncidée avec celle du vivre ensemble en paix et la journée de la lumière.
Cette journée a été co-organisée par le Potentiel, RJAE, GEC, Go-Shop et Mashujaa art Center

Par Loni IRENGE et Eric CHOKOLA