Grand évènement culturel, le Gabriel Ba Fashion festival a eu lieu à Kampala en Uganda du 6 au 8 décembre 2024. Pendant 3 jours la marque congolaise a présenté des collections riches en couleurs mais aussi en qualité.

C’est une combinaison de la créativité, et de la beauté dans la haute couture.Avec ses deux boutiques fonctionnelles à kampala en Uganda, la marque Congolaise Gabriel Ba a touché les esprits avec GABRIEL BA FASHION FESTIVAL.

Durant 3 jours d’intenses activités la marque a présenté plusieurs thèmes de sa nouvelle collection entre autres la dimension réservée aux mariés, une collection luxure et glamour et enfin une collection aux couleurs rouge et noir.

A ceci s’ajoute le défilé de mode dénommé jeans.Les artistes comme Cindy Sanyu , Eddy Kenzo, Vinka et autres ont marqué ce grand rendez-vous. Le styliste congolais Louison MBEYA directeur artistique de la marque renseigne que Gabriel Ba offre des produits de qualité supérieure faits sur mesure ainsi que des prêts à porter.

Gabriel Ba collection offre plusieurs gammes de produits aux standards internationaux entre autres des tenues pour mariés, tenues de soirée, les pantalons de qualité, des chaussures hommes et femmes, des sacs à main, des parfums aux odeurs douces et biens d’autres, le tout avec possibilité d’être fait sur mesure selon vos préférences.

Rappelons que Gabriel Ba est une marque congolaise dont les créations sont actuellement vendus en Uganda et partout ailleurs.

Comme l’a toujours dit le propriétaire de la marque que : is not about brand but is for exclusive, quality ,individuality and elegant .

Par Gloria Asifiwe

La députée nationale Katasohire Jeanine Kavira plaide la sécurité et l’assistance des habitants de la ville de Butembo victimes des pluies à la base des érosions ainsi que des éboulements. L’élue de Butembo l’a exprimé dans une motion d’information lors d’une plénière tenue à l’assemblée nationale, le weekend dernier.

A en croire la députée nationale , Kavira Katasohire Jeanine les pluies qui se sont abattues sur la ville de Butembo ont occasionné des érosions et éboulements de terre aux quartiers Kalemire, Kyaghala et Bitundo

Et d’ajouter que cette situation expose les habitants aux maladies ainsi à la famille suite à la destruction des terres agricoles et inaccessibilité de ces quartiers.

Face à cette situation , la députée nationale, Kavira Katasohire Jeanine plaide l’évaluation des dégâts, la construction des canaux de drainage ainsi que l’assistance des victimes de ces pluies

Profitant de cette occasion , l’élu de Butembo déplore l’assassinat d’une jeune fille à Nziapanda et plaide pour la sécurité des personnes et de leurs biens en ville de Butembo.

En somme, le président de l’assemblée nationale , Vital Kamerhe rassure du suivi de ces différentes informations pour le bien de la population.

Par Loni Irenge Joël

La bourgmestre de la commune d’Ibanda vient de procéder à la débaptisation de l’avenue Hypodromme au nom de Mme Solange Lusiku Nsimire d’heureuse mémoire. C’était lors d’une cérémonie tenue ce lundi 9 Décembre 2024, en ville de Bukavu

Réunis sur l’avenue Solange Lusiku Nsimire au quartier Nyalukemba en commune d’Ibanda, les membres de la famille, autorités locales , acteurs de la société civile , les journalistes, ont assisté à la débaptisation de l’avenue Hypdromme au nom de Mme Solange Lusiku, fondatrice du journal le souverain libre et activiste des droits humains.

Pour la famille de cette icône de la presse , cette débaptisation est le fruit du combat et de l’engagement pour la paix et la vérité

Cette dernière réaffirme sa détermination à poursuivre le combat de Mme Solange Lusiku

Juste après , les acteurs sociaux remettent à la bourgmestre d’Ibanda une icône de Mme Solange Lusiku pour immortaliser cette dernière

De son côté , Mme Furaha Toto , bourgmestre d’Ibanda rassure du soutien de la commune dans la matérialisation effective de l’arrêté du gouverneur de province, professeur Jean-Jacques Purusi sur la nomination de l’avenue Solange Lusiku

Signalons que cette cérémonie s’est clôturée par une procession sur l’avenue Solange Lusiku suivie du baptême officiel de cette avenue sous les ovations des différentes personnalités venues pour la circonstance.

Par Loni Irenge , Antoine Ruhamya et Aida Amza

Le président du conseil d’administration de la génération ABS et ministre du budget Aimé BOJI SANGARA soutient la démarche du chef de l’état visant la révision de la constitution . Il l’a exprimé ce weekend lors d’une double cérémonie de mobilisation et d’adhésion massive au sein de l’asbl G-ABS.

Dans une salle pleine comme un œuf , le PCA de G-ABS précise que la démarche du chef de l’Etat axée sur la révision de la constitution vise l’unité des congolais , à bannir les inégalités sociales et le développement de la RDC.
Le tout puisque le choix reviendra au peuple souverain, lui-même au centre du développement.
Raison pour Aimé BOJI SANGARA de Briser les manipulations et intoxication autour de la question sur le changement ou modification de la constitution.
A lui d’ajouter qu’il est possible de trouver des solutions aux failles se trouvant dans la constitution qui ne reflètent plus la réalité du Pays.

Notamment l’insuffisance des femmes dans les institutions du pays , la participation des jeunes à la gestion du pays, le gaspillage des recettes publiques et la récupération des espaces congolais occupés par les étrangers.
Occasion pour lui de rappeler que l’actuelle constitution était élaborée dans un contexte particulier post-conflit misant sur les intérêts politiques.
D’où la nécessité de la revoir afin de booster le développement de la RDC.

A cette même occasion 2500 nouveaux membres réunis dans différentes structures venues des coins et recoins de Bukavu ont signé leur adhésion au sein la Génération Aimé Boji Sangara (ABS) sous la coordination de Mé Justin MAPATANO BOJI.
Le tout devant la population favorable à la démarche visant à changer la constitution de la RDC.

Par Eric CHOKOLA

23 personnes tuées ,17 maisons attaquées par des bandits armés , 56 motos braquées , 8 cas d’enlèvements et 1 cas de justice populaire enregistrés. Ceci ressort du bulletin du mois de Novembre 2024, de SAJESEC Force vive dont copie nous est parvenue ce lundi 9 Décembre 2024.

Dans ce bulletin , le SAJECEK précise qu’au mois de novembre la province du Sud-Kivu a enregistré 23 morts dont 15 hommes et 8 femmes. Et d’ajouter que la ville de Bukavu a été la plus touchée avec 9 cas .

Le banditisme armé a également marqué le mois de novembre avec 17 cas enregistrés contre 16 en octobre. Explique cette organisation.

Pour SAJECEK, l’insécurité continue de faire des victimes dans la province du Sud-Kivu. Au mois de novembre, le tableau sécuritaire a été marqué principalement par les braquages de motos.

En ce qui concerne les maisons attaquées, le territoire de Kabare arrive en tête avec 9 maisons ciblées, selon le rapport.

61 cas de vol de motos a été enregistré. Le territoire de Kalehe à lui seul a enregistré 56 cas, suivi du territoire de Fizi avec 4 cas.

8 cas d’enlèvements ont été enregistrés en novembre, contre 6 en octobre. Parmi les victimes, on compte 7 hommes et 1 femme. La ville de Bukavu reste l’entité la plus touchée, avec 4 cas.

En somme, cette structure citoyenne invite les autorités à protéger les citoyens et leurs biens.

Par Douce Cibinda

Viser le développement de l’islam et promouvoir les projets des entrepreneurs musulmans . Tel est l’objectif d’une conférence organisée par l’organisation ACTIVE MUSILM tenue ce 08 décembre 2024 dans la ville de Bukavu.

Dans une salle pleine à craquer, des hommes , femmes et jeunes ont discuté des défis et des obstacles auxquels font face la communauté musulmane dans la province du Sud Kivu.

A cette occasion, MAHMOUD MURHULA Espoir, directeur de l’organisation ACTIVE MUSILM, appelle les participants à l’unité pour le développement intégral de leur communauté.

Occasion pour les organisations réunies au sein de ACTIVE MUSILM, de présenter leurs réalisations.

Il sied de noter que le thème principal était : « Les besoins du développement au sein de la communauté musulmane, obstacles , défis et avantages, cas de Bukavu»

Par Antoine Ruhamya

Les acteurs de la société, les journalistes et amis de Mme Solange Lusiku saluent la debatisation de l’avenue Hypdromme au mon de cette icône de la presse . Ces derniers l’ont exprimé lors d’une cérémonie en hommage à cette dernière organisée par le CRESA , ce samedi 7 Décembre 2024 en ville de Bukavu

Lors de cette cérémonie, les journalistes du journal le Souverain Libre , les membres de l’UNPC , les acteurs de la société civile et les amis de Mme Solange Lusiku , ont échangé son combat , pour la liberté de la presse et la défense des droits humains.

Tour à tour, les délégués du journal le souverain libre, de l’UNPC, de l’AFEM et de la société civile ont partagé leurs témoignages sur le combat de Mme Solange Lusiku et ses œuvres en RDC et ailleurs

Occasion pour Mr Adrien Zawadi , de présenter dans son livre : « Une femme , un combat une conviction », qui relate le combat de cette dernière.

Pour lui , la débaptisation de l’avenue Hypdromme au nom de Mme Solange Lusiku , est le fruit d’une longue lutte pour immortaliser cette icône de la presse et de la société civile

Sentiment de satisfaction pour les enfants Mme Solange qui saluent la combat de cette dernière et appelle la population à suivre ses pas pour défendre la vérité.

Le moment fort était la lecture de cet arrêté par le délégué de la commune d’Ibanda et la remise d’une icône de Mme Solange Lusiku aux autorités en hommage à cette dernière

Signalons qu’une cérémonie de débaptisation de l’avenue Hypdromme au nom de Mme Solange Lusiku , est prévue le lundi 9 Décembre 2024 dans cet avenue.

Par Loni Irenge et Antoine Ruhamya

Un mort , 3 blessés et une mosquée détruite. Bilan provisoire d’un accident de circulation survenu la matinée de ce samedi 7 Décembre 2024 , dans la ville de Kamituga . Une information confirmée par la cellule de communication de la mairie de Kamituga.

A en croire la cellule de communication de la maire de Kamituga , un camion de marque Fuso avait un problème du système de freinage a fini sa course sur une mosquée sur l’avenue Regideso en ville de Kamituga

Et d’ajouter que cet accident a occasionné la mort d’un motocycliste ainsi que 3 blessés.

Trouvée sur place , le responsable de l’église musulmane dans la zone de Kamituga plaide pour l’intervention de l’état congolais dans la recherche du propriétaire du véhicule qui a connu l’accident afin qu’il répare les dégâts causés

Aussitôt informés , le maire de la ville de Kamituga Alexandre BUNDYA M’PILA accompagné des services des sécurités se sont dépêchés sur le lieu de l’accident pour s’enquérir de la situation.

Occasion pour l’autorité urbaine d’exprimer sa compassion avec la famille du défunt et rassure de l’accompagnement des blessés qui suivent des soins à l’hôpital de Général de référence de Kamituga.

Signalons que le maire de la ville de Kamituga , Alexandre Bundya M’pila s’est rendu à l’hôpital général de Kamituga pour solidariser les blessés de cet accident de circulation.

Par Loni Irenge Joël

Dans le but de lutter contre la pollution plastique qui gangrène la ville de Bukavu , 40 femmes ont bénéficié d’une formation intensive aux techniques de recyclage . Ceci grâce au projet «Développement des capacités des femmes et jeunes dans la valorisation des déchets et le recyclage des déchets solides et plastiques », exécuté par Plastycor avec l’appui de l’organisation World Resources Institute au mois d’Octobre 2024, en ville de Bukavu.

Un moyen de réduire la quantité de déchets plastiques déversés dans le lac Kivu , la rivière Ruzizi et les environs des barrages hydroélectriques.

C’est un véritable marathon pour Mme Nicole Menemene, qui a fait le tour des 20 quartiers de la ville de Bukavu, pour former les femmes sur la valorisation des déchets plastiques.

A cet effet , cette activiste écologiste, procède avec les femmes à la collecte des déchets suivie une formation intense sur les techniques de recyclage de ces derniers

Dans un premier temps, cette formation a permis à un groupe de 40 femmes pionnières de transmettre leurs connaissances à 360 autres , couvrant ainsi 20 quartiers des trois communes de Bukavu.

Pour Mme Nicole Menemene, la motivation est de : « Doter aux femmes des outils nécessaires pour valoriser les déchets plastiques et contribuer ainsi à l’assainissement de la ville».

Car argument a-t-elle : « La gestion des déchets , c’est l’affaire de tous. En transmettant ces techniques aux femmes nous espérons qu’elles deviendront des acteurs clés du changement au sein de leurs communautés . Valoriser les déchets , c’est non seulement réduire la pollution, mais aussi créer de nouvelles opportunités économiques. »

Un sentiment de satisfaction pour Plastycor

« Les résultats de ce projet sont déjà concrets : plus de 6 000 sachets , 400 sacs et 3 000 babouches ont été valorisés grâce aux nouvelles compétences acquises par les femmes qui participent »

Également rassure Mme Nicole , ce projet démontre que les femmes constituent un moteur important dans la sensibilisation sur la gestion et la valorisation des déchets en ville de Bukavu et ses environs.

Signalons qu’après la formation des femmes dans les 20 quartiers de la ville de Bukavu , les jeunes ont été outillés sur les techniques de recyclage des déchets plastiques par Plastycor.

Loni Irenge Joël

Environs 27 professionnels de la santé, venus de différents pays, ont participé à une formation intensive sur les soins chirurgicaux d’urgence en contexte de guerre, organisée par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Bukavu.

Tenue du 26 au 29 novembre à l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu et à la Faculté de médecine de l’Université Catholique, cette formation a pour objectif de doter les participants des compétences nécessaires pour prendre en charge les blessés par armes dans des conditions difficiles et avec des ressources limitées.

Les conflits armés engendrent des besoins spécifiques en matière de santé. Cette formation vise à renforcer les capacités des professionnels de la santé à répondre à ces besoins, en particulier dans les régions touchées par l’insécurité.

Les participants, principalement des chirurgiens, anesthésistes et infirmiers, ont bénéficié d’un programme alliant théorie et pratique. Ils ont abordé des sujets liés à l’exercice de la médecine en contexte de guerre.

« Cette formation est essentielle pour nous permettre de mieux répondre aux besoins de nos patients », a témoigné un participant.

« Les connaissances acquises ici nous seront très utiles dans notre pratique quotidienne ». Ajoute il.

Cette initiative du CICR s’inscrit dans le cadre de ses efforts visant à améliorer la qualité des soins apportés aux blessés de guerre dans le monde entier. En renforçant les capacités des professionnels de la santé locaux, le CICR contribue à renforcer les systèmes de santé et à améliorer la protection des populations vulnérables.

Isaac MUSHARHAMINA