Apporter des solutions aux problèmes que connaît le Sud-Kivu face au changement climatique et en suite développer des moyens d’adaptation permettant la production des denrées alimentaires sans impacter négativement à environnement. Voilà ce qui motive la tenue d’un atelier de deux jours organisé par le consortium UEA, UCB, UOB et l’Université Catholique de Graben.
Porté sur la recherche orientée vers la résolution des problèmes de santé et d’agriculture dans une région post-conflit vient de débuté ce mercredi 6 Avril 2022 en prélude du lancement de l’école doctorale en agroécologie et sciences du climat dans un programme conjoint organisé par ce consortium.
Devant des chercheurs d’universités et étudiants venus de l’UEA, UCB, UOB et UCG, il sera question de présenter les résultats des projets de recherche mis en œuvre dans la région pour résoudre les problèmes liés à la santé, l’agriculture et la situation socioéconomique pendant la période de 2018-2021.
A en croire le doyen de la faculté d’agronomie à l’UEA, leur souci c’est de voir un Sud-Kivu indépendant de l’extérieur dans la production des différentes variétés.
Rodrigue Ayagirhwe Basengere souligne que cela doit passer par l’amélioration des ressources humaines pour apporter un plus dans ce secteur.
Pour lui, il est inconcevable que la province riche en agriculture se heurte toujours au problème d’une mauvaise alimentation posant différentes maladie et la crise économique pourtant possible de développer de mécanismes palliatives grâce aux atouts des élites intellectuelles au Sud-Kivu.
En marge de ses assises certains anciens étudiants des universités citées ci-haut présentent dans des stand différentes variétés des cultures produites localement.