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Bukavu : La consommation abusive des suppléments nutritifs (Plumpynet) un danger quasi ignoré pour la population

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Après le pillage des entrepôts du programme Alimentaire Mondial(PAM), des habitants de la Ville de Bukavu sont exposés aux maladies chroniques dont le diabète et les maladies rénales . Ceci suite à la consommation abusive des suppléments nutritifs( Plumpynet). Un constat dressé par les reporters de la RTNK, le weekend dernier

Depuis quelques jours , des enfants , jeunes filles , garçons et certains adultes consomment sans modération des aliments nutritifs dit plumpynet dans plusieurs parties de la ville

Ces produits destinés au traitement des personnes souffrant de la malnutrition aiguë , sont étalés au bord des routes et dans certaines boutiques à 250 FC le paquet ou même moins que ce prix

Contacté à ce sujet , plusieurs nutritionnistes, précisent que ce produit nutritif expose les personnes en bonne santé aux risques de surcharge qui entame la fonction rénale , hépatique et peuvent même provoquer des maladies chroniques comme le diabète , l’insuffisance rénale et l’hypertension

Face à cette situation, ces derniers appellent les parents à contrôler le comportement de leurs enfants et aux autorités à interdire la vente et la consommation de ces produits en ville de Bukavu.

En rappel , à la veille de l’entrée du mouvement M23/AFC , en ville de Bukavu. Certains habitants de la ville de Bukavu avaient pillé les entrepôts du PAM en commune de Bagira

Une situation qui occasionne l’abondance de ce produit médical dans plusieurs parties de la ville de Bukavu.

Sud-Kivu : Certains policiers, militaires et volontaires se rendent à l’AFC/M23

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Plus de 1800 éléments de la Police Nationale Congolaise, 600 des Forces Armées de la République Démocratique du Congo accompagnés de plusieurs volontaires viennent de se rendre à l’AFC/M23 samedi 22 Février. Leur adhésion intervient après la prise de la ville de Bukavu en province du Sud-Kivu.

A en croire le Général Bernard Maheshe Byamungu , ces nouveaux éléments vont être transférés dans la cité de Rumangabo au Nord-Kivu où une série de formation en titre de recyclage sera tenue en leur faveur avant qu’ils regagnent Bukavu.
Le tout pour combattre aux côtés de l’AFC/M23 après avoir améliorer leurs compétences et idéologies.

Occasion pour le Général Bernard Byamungu de miser sur le professionnalisme que l’AFC/M23 compte doter à ces nouveaux éléments.
Ceci pour défendre la patrie, assurer la sécurité et la protection des citoyens sans quémander car ils seront également bien rémunérés ajoute-t-il.

Dans une rencontre de mise à niveau et de morale , il souligne que ces éléments vont revenir avec une mentalité de 2025 et ne seront plus des policiers ou militaires de 2024.
De son côté , le point focal communication au sein de l’AFC/M23 fait savoir qu’après le recyclage, ces éléments à travers l’Armée révolutionnaire du Congo vont ensemble libérer la RDC et cela pour en finir avec tous les calvaires que traversaient les Congolais.

Parmi les policiers de la PNC qui se sont rendus figure l’ancien commandant ville.
Celui-ci souligne qu’ils viennent de se rendre par leur consentement car n’étaient pas forcés par personne.

Lui et ses collègues promettent de revenir avec des nouvelles connaissances dans leur service.
Ce qui leur permettra de bien servir sous la drapeau et bien sécuriser la population et des biens tel que demandé par l’AFC/M23.

Sud-Kivu : Des cadres sociaux et politiques sous l’égide du pasteur Nicolas Kyalangaliwa affirment leur soutien au M23/AFC

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Au Sud-Kivu, différents cadres sociaux politiques attendent du mouvement AFC/M23 le renversement du régime de Félix Antoine Tshisekedi. Le tout dans l’objectif de mettre fin aux anti-valeurs qui ont longtemps terni l’image de la RDC. Tout est contenu dans un mémorandum adressé aux autorités de l’AFC/M23 après un meeting tenu samedi 22/Février.

Devant une marée humaine réunie à l’esplanade de l’hôtel de poste, ces acteurs socio-politiques disent soutenir la lutte du mouvement AFC/M23 car prône le bien être socio-économique de la population.

Une lutte qui permet de mettre fin à la corruption, la mauvaise gouvernance, le tribalisme, l’insécurité et l’économie extravertie qui ont longtemps bloqué le développement du Pays.

Le tout passant par l’article 64 de la constitution qui souligne que tout congolais a le devoir de faire échec à tout individu qui exerce le pouvoir en violation des dispositions de la présente Constitution.

Le moment fort était celui du dépôt du mémorandum aux autorités du mouvement après une marche pacifique tenue de l’hôtel de poste jusqu’au gouvernorat provincial.
Sur place, Nicolas KYALANGALILWA indique que c’est la seule option pour parvenir au changement.

Sur place, le représentant les autorités du mouvement AFC/23, promet de parvenir le mémorandum à son hiérarchie.

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Occasion pour Kahasha RUGOBERWA de demander à la communauté internationale de cesser de soutenir Félix Antoine Tshisekedi dans ce qu’il qualifie des anti-valeurs pour mettre fin aux calvaires que traverse la population.

Ce meeting intervient en prélude de l’arrivée des responsables du mouvement AFC/M23 annoncée incessamment à Bukavu.

Goma : Neuf autres présumés bandits armés tués en moins de 24 heures

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Quatre présumés bandits armés ont été tués dans la soirée de ce mercredi à Goma. Selon des témoignages, ils ont été achevés par une patrouille du M23 après avoir cambriolé plusieurs ménages au quartier Himbi.  

« Vers 23h, nous avons entendu des bruits, des pas et des voix, et nous avons rapidement compris que des voleurs faisaient du porte à porte. Nous avons appelé le numéro d’intervention et, quelques instants plus tard, les éléments du M23 sont arrivés. Après plusieurs échanges de tirs, quatre bandits ont été tués », a expliqué un témoin.

Deux autres présumés voleurs ont été tués dans la même soirée toujours au quartier Himbi, sur l’avenue Walikale, près de la mosquée Katindo.

Selon des témoignages, les infortunés qui étaient armés, ont été surpris après avoir terminé un braquage.

La patrouille du M23 les a abattus sur place.Le bilan de la nuit de mercredi ne s’est pas arrêté là. Un autre présumé voleur a été tué près du rond-point Moromoro, à la frontière entre Goma et le territoire de Nyiragongo.

Bien que les circonstances de son décès restent floues, plusieurs témoins ont rapporté que des effets militaires ont été retrouvés sur son corps, portant le total des morts à sept.

Ce jeudi 20 février, deux autres individus, présumés kidnappeurs, ont été abattus en plein jour au quartier Himbi.

Ils sont accusés d’avoir enlevé un jeune garçon, et demandaient une rançon pour sa libération.

« Les kidnappeurs ont appelé la famille en disant qu’ils attendaient la rançon. Ne sachant pas que la famille était en contact avec les autorités, ils ont rendez-vous au restaurant Bravo. Une fois sur place, les éléments du M23 ont intercepté les kidnappeurs et les ont emmenés hors du restaurant, où ils ont été exécutés », a déclaré un habitant du quartier Himbi.

Au moins 16 personnes ont perdu la vie dans des circonstances violentes en moins de 48 heures à Goma et dans le territoire voisin de Nyiragongo. Cette explosion de violence suscite de vives inquiétudes au sein de la population

La ville est sous occupation du M23 depuis plus de trois semaines et a récemment lancé un ultimatum de 72 heures aux habitants pour rendre tout matériel militaire ou armes à feu.

Cependant, les autorités du M23 considèrent désormais comme des ennemis ceux qui ne se sont pas conformés à leur décision, renforçant ainsi un climat d’insécurité dans la ville.

Les habitants de Goma sont confrontés à une insécurité grandissante, aggravée par l’évasion massive de détenus de la prison centrale de Munzenze, à la suite des attaques du M23. La présence de ces prisonniers en liberté, combinée à l’activité des groupes armés dans la ville, alimente la montée de la criminalité, particulièrement des wazalendos.

La cheffe de la Monusco, Bintou Keita, a récemment exprimé ses préoccupations lors d’une intervention à la 37e session extraordinaire du Conseil des droits de l’homme.

Elle a souligné que la libération de milliers de détenus de Munzenze, après l’attaque du M23, avait exacerbé la situation sécuritaire déjà fragile à Goma.

Avec actualité.cd

Bukavu : Le pillage de l’entreprise BRALIMA expose plus de 1000 personnes au chômage

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Après le pillage de l’entreprise brassicole BRALIMA à Bukavu, il y a environ une semaine, plus de 1000 personnes que cette entreprise emploie localement risquent de perdre leur travail en cas de faillite due à ces actes de vandalisme, rapportent des sources de l’entreprise.

À l’entrée du mouvement du M23/AFC dans le chef-lieu de la province du Sud-Kivu, des habitants ont pillé plusieurs commerces, dont les entrepôts de la BRALIMA.

Si les pertes subies par cette entreprise dans cette ville s’avèrent colossales au point de la contraindre à mettre la clé sous la porte, cela aura des conséquences humaines et fiscales, font savoir des sources dans le secteur.

Le millier de contractants et sous-traitants confondus, qui travaillent pour cette entreprise, n’auront plus de revenus pour prendre en charge leurs familles, renseignent les statistiques de la société.

Du point de vue fiscal, en termes des recettes à caractère national, la BRALIMA Bukavu est le plus grand contribuable de la DGI avec plus d’un million USD par mois, de la DGDA avec aussi plus d’un million USD par mois pour les importations et accises.

Elle contribue également aux recettes de la DGRAD, de l’OCC et bien d’autres services étatiques fiscaux.

Pour la province du Sud-Kivu spécifiquement, la BRALIMA Bukavu paie autour de 400 000 USD par mois au gouvernement provincial en termes de taxe sur la consommation des produits brassicoles.

Cette entreprise paie plus de 60 % des recettes de la REGIDESO locale, soit plus de 400 milliards de francs congolais, même chose pour la SNEL Bukavu.

La BRALIMA Bukavu est donc le plus grand pourvoyeur financier de la province du Sud-Kivu.

Avec radiookapi.net

Sud-Kivu : La ville de Bukavu respire l’air frais après les travaux communautaires « Salongo» lancés par M23/AFC

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La ville de Bukavu respire l’air frais après les travaux communautaires lancés par les nouvelles autorités de la ville notamment les cadres du M23/AFC. Constat dressé par les reporters de la RTNK ce 19 février 2025.

Dans la ville de Bukavu, c’est depuis tôt le matin que des milliers d’habitants étaient visibles dans les rues pour répondre à l’appel des leaders du M23/AFC pour les travaux communautaires communément appelées Salongo.

Un grand rendez-vous était pris à la place de l’indépendance, là plusieurs cadres notamment le porte parole et point focal Lawrence Kanyuka, le général Bernard Bisimwa et tant d’autres.

A leur côté, des milieux d’habitants, avec les outils aratoires, bêches, pioches et tant d’autres

Pour la plupart des gens, c’est une manière de rendre la ville propre et assainit aux côtés des autorités provinciales.

Il sied de rappeler que c’est les premiers Salongo appelé par les autorités de l’AFC.

Toutes les rues, ruelles, sentiers et autres étaient touchés et Bukavu respire un air frais depuis la matinée.

Par Justin Mwamba et Achiza Katera

Sud-Kivu : La reprise des activités scolaires annoncée pour le lundi 24 Février 2025 (Communiqué)

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Le directeur provincial ai de l’Éducation nationale et Nouvelle Citoyenneté du Sud-Kivu, Léon Musagi Mukambilwa , annonce la reprise des cours dans toutes les écoles de la province à partir du lundi 24 février 2025. Cette décision fait suite à une période de crise humanitaire , durant laquelle le droit à l’éducation des enfants reste une priorité absolue.

Dans une communication adressée aux gestionnaires et acteurs éducatifs, M. Mukambilwa souligne l’importance de préparer activement la rentrée.

Le personnel administratif et enseignant sont appelés à reprendre ses fonctions dès ce mercredi 19 Février 2025, afin de préparer les salles de classe pour accueillir les élèves dans les meilleures conditions possibles.

Les chefs d’établissement, les enseignants et les comités de gestion des écoles sont invités à évaluer et signaler tout problème susceptible de compromettre l’apprentissage des enfants dans un environnement sûr et protecteur.

Une attention particulière doit être portée aux engins non explosés et autres effets militaires de guerre qui pourraient se trouver dans les milieux scolaires.

L’objectif est de permettre aux équipes spécialisées de déminage d’intervenir dans les plus brefs délais, avant la reprise effective des cours.

La rentrée scolaire du 24 février 2025 pourrait marquer une étape importante dans le retour à la normale de la vie éducative au Sud-Kivu.

Par Loni Irenge et Isaac Musharamina

RDC/Reprise du trafic sur le lac Kivu : Un retour à la normale après des semaines de suspension

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Le trafic lacustre entre Bukavu et Goma vient de reprendre ce mardi 18 février 2025, marquant la fin de près de trois semaines de suspension . Cette reprise fait suite à un communiqué du gouverneur du régime du M23/AFC et à l’harmonisation du comité des armateurs du Lac Kivu ASALAKI.

Dès 8h40, le premier bateau, « Emmanuel » des établissements SILIMU, a quitté le port de Bukavu pour Goma, avec à son bord une centaine des passagers, principalement des opérateurs économiques et des familles.

L’activité a également repris sur plusieurs autres ports de Bukavu, avec des matelots présents dès le matin pour reprendre le service.

Cette suspension avait entraîné un manque à gagner important pour les travailleurs du secteur, ainsi que la montée des danrés alimentaires.

Le Directeur Administratif et Financier des Établissements Silimu, Lweni Ndale, confirme avoir reçu le communiqué de reprendre le trafic, d’avoir harmonisé avec le président des l’ASALAKI présent à Goma.

Concernant la possibilité de travailler 24h/24 comme indiqué dans le communiqué, Lweni Ndale précise qu’une concertation avec tous les services concernés était nécessaire pour étudier la faisabilité de cette mesure.

Pour rappel, la navigation sur le lac Kivu entre Goma et Bukavu était suspendue depuis le 29 janvier 2025.

Par Isaac Musharamina

RDC : Le Programme Alimentaire Mondial(PAM) fustige le pillage de ses entrepôts à Bukavu

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Le Programme Alimentaire Mondiale a alerté sur la situation humanitaire préoccupante dans la partie Est de la RDC. Ce qui est exacerbé aussi par des scènes de pillages dont certains ont visé ses entrepôts à Goma il y a deux semaines puis à Bukavu, le week-end dernier. Ce que l’organisation des Nations Unies a vivement condamné et se dit prêt à reprendre quand les conditions seront réunies.

« PAM condamne le pillage de nos entrepôts à Bukavu, au Sud-Kivu, dans l’est de la RDC au cours du week-end. Les réserves alimentaires vitales stockées étaient destinées à fournir un soutien vital aux familles les plus vulnérables qui sont maintenant confrontées à une crise humanitaire croissante, et alors que la violence se propage tandis que l’accès à la nourriture est de plus en plus difficile, le PAM se tient prêt à reprendre l’aide alimentaire essentielle aux plus vulnérables dès que cela sera possible en toute sécurité » , indique le PAM.

En conséquence, la situation humanitaire devient de plus en plus critique, exposant de nombreuses personnes à des famines graves, surtout les déplacés. Le PAM appelle à ce que le droit international en la matière soit respecté.

« Nous appelons instamment toutes les parties au conflit à respecter leurs obligations en vertu du droit international humanitaire, y compris la protection des civils et des travailleurs humanitaires » , ajoute cette agence des Nations Unies.

La communauté internationale exhorte depuis plusieurs jours les différentes parties au conflit à privilégier le dialogue.

L’équipe d’experts internationaux en RDC a exprimé son inquiétude face à la détérioration de la situation sécuritaire et humanitaire, marquée par des violences, des pillages et la mort de nombreux civils, militaires congolais et forces de maintien de la paix.

Ces experts insistent sur l’importance du respect des droits humains et du droit humanitaire international pour protéger les populations vulnérables.

Le Royaume Unie a même alerté sur l’urgence d’une réponse humanitaire rapide.

« Près d’un million de personnes ont déjà été déplacées par cette récente offensive et des centaines de milliers ont désormais désespérément besoin d’une aide vitale. Il est consternant que les routes d’aide vitales aient été coupées. Toutes les parties doivent rétablir l’accès humanitaire de toute urgence» , précisait un communiqué de ce dimanche 16 février.

Face à cette crise, les acteurs internationaux, y compris les Nations Unies et les organisations humanitaires, appellent à une mobilisation immédiate pour éviter une catastrophe humanitaire d’ampleur.

Lors de la 37ᵉ session spéciale du Conseil des droits de l’homme à Genève, Bintou Keita, représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU en RDC, a exprimé son inquiétude face à la situation humanitaire alarmante à Goma, occupée par les rebelles du M23/AFC soutenus par le Rwanda appelant à l’ouverture de l’aéroport de Goma.

De l’autre côté, Global Protection Cluster (GPC) a intensifié son plaidoyer pour renforcer la protection des civils, garantir l’accès humanitaire et prévenir l’escalade des violences, face aux attaques, aux déplacements forcés et aux entraves à l’aide humanitaire.

Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a également tiré la sonnette d’alarme sur l’aggravation de la crise sécuritaire et humanitaire dans l’est de la RDC.

L’accès à la nourriture représente un défi majeur pour de nombreuses familles déplacées et retournées.

D’après OCHA, elles ne disposent ni de réserves alimentaires ni de moyens d’en acheter. La quasi-totalité des cultures et provisions a été pillée par les groupes armés, aggravant la précarité des populations de retour.

Avec Actualite.cd

RDC/ crise dans l’Est : 26 corps ramassés et 176 blessés pris en charge par le CICR et la Croix-Rouge au Sud-Kivu

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La ville de Bukavu, dans l’est de la République Démocratique du Congo, est actuellement fait face à une crise humanitaire. Des affrontements armés ont éclaté, causant un nombre de victimes. Dans cette situation d’urgence, le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) se mobilise pour apporter une aide vitale aux personnes blessées par par balle.

Depuis le début des hostilités, l’afflux de blessés vers les structures de santé de la ville ne cesse de croître. L’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu (HPGRB), soutenu par le CICR, a reçu à lui seul 39 blessés par arme entre vendredi 15 Février et lundi 17 Fevrier. Au total, ce sont 176 personnes blessées qui ont été hospitalisées jusqu’à présent, selon les informations communiquées par le CICR.

Les équipes du CICR sont déployées sur le terrain pour coordonner les opérations de secours et apporter une assistance directe aux victimes. Les volontaires de la Croix-Rouge de la RDC, avec le soutien du CICR, procèdent au ramassage des corps dans différents quartiers de la ville. Selon François Moreillon, Chef de Délégation du CICR en RDC.

Outres, les corps sont transportés vers la morgue, où les familles pourront tenter de les identifier. Cette étape est cruciale pour permettre aux proches de faire leur deuil dans la dignité et d’organiser des enterrements respectueux.

En somme, il est impératif que les acteurs présents dans cette crise respectent le droit international humanitaire et de protéger les civils, les structures de santé et les travailleurs humanitaires en toutes circonstances.

Par Isaac Musharamina