Le mouvement citoyen Observation d’Action Parlementaire et Gouvernementale (OBAPG RDC) plaide pour la règlementation du prix de transport en ville de Bukavu. Cette structure citoyenne l’a exprimée, ce samedi 17 septembre 2022, dans une déclaration en réaction à la confusion occasionnée par certains conducteurs des taxis et bus, qui fixerait le prix à leur guise sur différents tronçons routiers de la ville de Bukavu
Partant du constat selon lequel, depuis la prise par le gouvernement provincial de la mesure portant interdiction de la circulation des motos, sur l’avenue Patrice Emery, certains conducteurs des véhicules de transport en commun, haussent le prix du transport selon leur humeur.
OBAPG RDC, estime que l’implication des autorités s’impose pour rétablir de l’ordre dans ce secteur, car ajoute cette structure citoyenne, il est inconcevable le prix de transport en commun fixe par l’autorité urbaine sur différents tronçons entre 500 et 800 FC, passent pour le moment à 1000 ou même 2000 FC selon l’humeur des conducteurs et les conditions météorologique du jour.
Occasion pour Amos Bisimwa, militant de ce mouvement citoyen de recommander aux autorités de la ville de Bukavu à faire respecter l’arrêté sur la réglementation du transport et aux conducteurs à la prise de conscience en vue de faciliter à la population la tâche.
En rappel, le maire de la ville de Bukavu, dans un communiqué rendu public, il y a quelques semaine, avait mis en garde ceux qui haussent le prix du transport en commune, car indique-il, la fixation du prix de transport en commun dans la ville de Bukavu, revient à la mairie.
Partant du constat selon lequel, depuis la prise par le gouvernement provincial de la mesure portant interdiction de la circulation des motos, sur l’avenue Patrice Emery, certains conducteurs des véhicules de transport en commun, haussent le prix du transport selon leur humeur.
OBAPG RDC, estime que l’implication des autorités s’impose pour rétablir de l’ordre dans ce secteur, car ajoute cette structure citoyenne, il est inconcevable le prix de transport en commun fixe par l’autorité urbaine sur différents tronçons entre 500 et 800 FC, passent pour le moment à 1000 ou même 2000 FC selon l’humeur des conducteurs et les conditions météorologique du jour.
Occasion pour Amos Bisimwa, militant de ce mouvement citoyen de recommander aux autorités de la ville de Bukavu à faire respecter l’arrêté sur la réglementation du transport et aux conducteurs à la prise de conscience en vue de faciliter à la population la tâche.
En rappel, le maire de la ville de Bukavu, dans un communiqué rendu public, il y a quelques semaine, avait mis en garde ceux qui haussent le prix du transport en commune, car indique-il, la fixation du prix de transport en commun dans la ville de Bukavu, revient à la mairie.