Les journalistes sont appelés à multiplier des séances de sensibilisation sur les violences sexuelles et celle basé sur le genre à travers leurs différentes production radio télé diffusées. Cet appel a été lancé par la coordinatrice de l’Association de Femmes des Médias AFEM dans le cadre de la campagne de 16 jours d’activisme sur les violences sexuelles et celles basées sur les genres

La coordinatrice de AFEM invite les chevaliers de la plume et du micro à user de leur pouvoir de sensibilisateur de masse dans la vulgarisation des lois en faveur des droits de la femme.

Selon elle, la production des émissions, des spots mais également des magasine et d’autres format journalistique peuvent contribuer au changement positif de comportement et à la promotion de la femme.

Dans ces propos, Julienne Baseke insiste que les journalistes ont un grand rôle à jouer dans la lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre au sein de la communauté.

Notons que cette activité s’est tenue sous le thème : mobilisation des médias dans la prévention, la dénonciation , la collection et la canalisation des informations liées au Violence sexuelle et celle basé sur les genres.
 

Les arrestations arbitraires, l’impunité, le non-respect des droits des prisonniers, les violences causés par les groupes armés et bien d’autres sont là des cas récurrents de violation de droit de l’homme en province du Sud-Kivu en particulier et en RDC en général. Ceci a été épinglé dans une activité organisé ce vendredi par la synergie des organisations de droits de l’Homme, S.O.D.H en sigle.

Tout en regrettant les différentes formes de violation de droit de l’homme par certains hommes forts du pays, Murabazi Namegabe, secrétaire permanent de cette structure reste convaincu que le droit de l’homme reste un modèle pour une société équitable.

Il estime qu’une collaboration étroite entre les acteurs sociaux et les autorités politico administrative permettra de changer la done dans la promotion du droit de l’Homme.

Rappelons que la synergie des organisations d droit d l’homme est un jeune réseau de plus de 122 Associations des défenseurs de droit d l’homme crée en décembre 2017 avec l’appui technique du Bureau Conjoint des Nation Unies aux droits humains (BCNUDH) et pour mission de contribuer à la protection et à la défense d droit de l’homme.

L’humanité célèbre la journée Internationale des personnes vivant avec handicap ce 3 Décembre de chaque.Occasion pour la Synergie des Personnes Vivant avec Handicap de rappeler à la communauté que les personnes vivant avec handicap ont des droits et méritent une protection.C’etait lors d’une manifestation tenue à l’Institut Français en ville de Bukavu.

A en croire Mazambi Kutana, coordonateur de Panzi Handicap, l’handicap n’est pas une injure ni une pauvreté mais la volonté de Dieu et ne doit pas faire objet de discrimination.

Il plaide pour que les enfants qui naissent avec handicap jouissent également de leurs droits comme la scolarisation et l’intégration des personnes vivant avec handicap dans différents domaines de la vie sociale

Il sied de signaler que selon L’Organisation Mondiale de la Santé plus d’un milliard de personnes, environ 15% de la population mondiale souffrent d’une forme ou d’une autre de handicap.

La société civile urbaine et les mouvements citoyens de la ville de Bukavu réclament un audit financier du projet PICAGL dans la province du sud Kivu, ces organisations l’ont fait savoir au cours d’une marche pacifique accompagné d’un sit-in organisé ce jeudi 3 décembre au bureau de projet PICAGL dans la commune d’ibanda.

La marche est partie du bureau de coordination de la société civile jusqu’au bureau de PICAGL où un sit in a été organisé. Les manifestants portaient des caliquots avec comme inscription « 150 Millions de dollars sans impact sur terrain c’est un crime plus que la guerre ».

Le président du bureau urbain de la société civile demande Une évaluation physique du projet PICAGL

En réaction le coordonnateur du projet PICAGL précise que la société civile ne pas habilité pour demander une évaluation

Jean Damas Bulu Bulu demande ensuite à la société civile de s’adresser plutôt au gouvernement provinciale du sud Kivu