Le rôle de la mère est primordial dans le redressement d’une nation, un motif de les invitent à bien remplir leurs missions, celles d’éduquer les enfants en particulier et la nation entière en général.Cet appel a été lancé ce 23 juillet 2021 dans une matinée d’échange organisée par la section Genre de la Police des Nations Unies(UNPOL)Bukavu en marge de la 21 édition de la fête des mères.
Autour d’une table, une cinquantaine des femmes dont la plupart sont des policières et d’autres des organisations membres de la société civile étoutillé sur leur pouvoir des mères mais aussi leur impact dans la société.
A en croire Moufi Souf cheffe secteur UNPOL Sud-Kivu, quand une femme se lève, c’est tout un pays qui se développe, une occasion d’interpeller la femme à assumer ses responsabilités pour une société responsable.
Faisant d’une pierre deux coups, les femmes ont été sensibilisées sur les mécanismes à mettre en place pour mettre fin aux violences sexuelles et surtout le respect du genre et les droits des enfants dans notre société.
Certaines participantes ont salué cette remise à niveau et ont promis jouer leurs rôles comme des vraies mères.
Notons que la journée des mères est célébrée chaque 19 Mai, pour cette année 2021, elle a été reportée à cause de la pandémie à Corona Virus.
Les journalistes de la province du Sud-Kivu sont plus que engagés à apporter un plus dans le changement de comportement et à mettre en plus des stratégies pour la facilitation du contrôle citoyen par les médias en province.Un engagement pris à l’issu d’un atelier organisé par l’observatoire de la liberté de la presse en marge de la journée nationale de la liberté de la presse célébrée ce 22 juillet 2021.
Cet engagement a été pris après plusieurs exposés tournant autour du role des médias dans le changement des comportements des citoyens.
L’influence des médias locaux pour le fonctionnement des institutions provinciales et changement de comportement des acteurs politiques du Sud-Kivu, l’évaluation de la couverture médiatique des élections de 2018 et du travail de la presse indépendante du Sud-Kivu depuis l’avènement de nouvelles institutions ou encore le contrôle citoyen et l’apport des médias dans l’accompagnement de la population,des thématiques abordés dans cet atelier qui ont accouché à des recommandations poussant les journalistes du Sud-Kivu à la promotion du contrôle citoyen.
Pour l’observatoire de la liberté de la presse en Afrique OLPA il est demandé aux médias de donner la parole aux acteurs crédibles mais aussi à ceux qui ont un plus pour le changement de la société.
Occasion pour Kabongo Mbuyi secrétaire national de OLPA d’appeller les journalistes à un travail bien fait
Signalons que cet atelier a connu la présence du président sectionnaire de l’UNPC Sud-Kivu DARIUS KITOKA, du président du bureau de coordination de la société civile Adrien Zawadi, du délégué du ministre de la communication et différents chevaliers de la plume et du micro du Sud-Kivu.
Les musulmans du monde commémorent la fête de Tabaski ce 20 Juillet 2021.Au Sud-Kivu les Fidèles musulman sont priés de demeurer dans l’unité et le partage. Un message lancé par le sheh à l’ occasion de la commémoration de la fête des moutons
Au terrain de l’ISP et au stade de Kadutu où certain fidèles musulman se sont réunis pour la traditionnelle prière de Tabaski ou fête des moutons, le sheh Quassim a dans sa prédication demandé aux musulmans de garde leur foi en Allah, malgré les épreuves que la vie nous amène souvent à traverser,Il donne l’exemple d’Abraham père de la foi, qui est aussi passé par cette étape, mais Allah lui a délivré en amenant un mouton comme sacrifice en lieu et place de son fils Isaac.
Le sheh demande au Fidel musulman de prier aussi pour l’unité entre eux et d’avoir un esprit de partager à l’occasion de la tabaski
D’autres fidèles musulmans se sont aussi retrouvés au stade de la concorde de kadutu pour la même prière, une occasion pour ce dernier de prier aussi pour la paix dans la partie Est de la RDC,
Les fidèles musulman ont réitérés la demande au gouvernement, de leur accorder aussi une journée féries pour célébrer cette fête comme c’est le cas dans d’autres religion.
Les travaux du 41e Congrès des maires Francophones se poursuivent à Kigali au Rwanda, pour cette deuxième journée les discussions ont tournées autour du thème «Quelle urbanité pour les villes francophones, le maire et la société civile».A cette occasion des autorités locales et les acteurs sociaux ont abordés plusieurs thèmes dont les politiques de gouvernance locale en phase avec la société civile,la société civile,le vivre ensemble et la cohésion sociale,la diplomatie des maires et diplomatie citoyenne et bien d’autres
Ces travaux ont été lancés par le ministre de l’Administration Locale du Rwanda Jean Marie Vianney Gatabazi pour permettre aux panelistes d’élaborer des stratégies pour une bonne collaboration entre les municipalités et les organisations de la société civile pour promouvoir la cohésion sociale,le vivre ensemble et le développement de différentes régions.
Dans le premier panel a échangé autour «des politiques de gouvernance locale en phase avec la société civile».Cinq intervenants étaient présents entre autre Alice KAYITESI Gouverneur de la province du Sud au Rwanda, Ousmane SAKO Expert en administration publique territoriale,Solange MUKAMURENZI cheffe du Département de la prestation de service, de la bonne gouvernance et du forum d’action conjointe de développement au Rwanda, Guilia MACI Responsable Programme Villes pour les Femmes de Cities Alliance en Tunisie et Antonella VALMORBIDA secrétaire Générale de l’Association Européenne pour la Démocratie locale.
A la lumière des expériences Rwandaises, ce panel a discuté des modèles de partenariat entre les municipalités et la société civile.
Quant au deuxième panel,les échanges ont tournées autour de la société civile,le vivre ensemble et la Cohésion sociale.Les échanges ont pour objectif d’éclairer les participants sur la coopération stratégique entre la municipalité et les organisations de la société civile pour relever les défis du vivre ensemble et la cohésion sociale.Il a été évoqué que les municipalités peuvent consulter la société civile dans toute sa diversité pendant la prise des décisions qui touchent le cohésion sociale.
Et la société civile,faire des plaidoyers sur les enjeux en proposant des initiatives de développement, mobiliser aussi les différentes ressources pour appuyer les municipalités.
Ceci grâce aux interventions de plusieurs personnalités dont de Christian MAWUGNON HOUETCHENOU Maire de Ouidah, celle de Jeanne D’arc GAKUBA Ancienne Sénatrice et ancienne vice-maire de Kigali, la présentation de Djaili AMADOU AMAL, écrivaine et prix littéraire Francophone,de Gregor STANGHERLIN responsable du plan de cohésion sociale de la ville de liège, celle de l’Abbé Consolateur INNOCENT, commissaire, et enfin l’intervention de Carlos MORENO professeur à l’université Paris et Wafa TOUIHRI Enseignante à la faculté des sciences humaines et sociales de Tunis.
En ce qui concerne le troisième panel, les participants ont discutés autour de la diplomatie des Maires et la diplomatie citoyenne.A cette occasion,plusieurs recommandations ont été formulées notamment :
«-Soutenir le jumelage entre les ville -Faciliter la libre circulation des personnes et leurs biens -Mettre en place le guichet unique aux frontières -Accompagnement des actions des maires par la haute hiérarchie -retablissement de la confiance entre les autorités locales et les citoyens -L’autonomisation politique et financière des maires -Suivi des accords entre les villes -Utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication»
Cinq intervenants ont pris part aux échanges dont Georges MAGAMBO BUDUNDWA secrétaire exécutif de la PALPGL,Lorenzo KILHLGREN Docteur en études politiques de Paris, Cyrine BEN MLOUKA présidente du réseau des femmes Leaders du Maghreb, Ange Sebutege Maire de Huye et Darius Mukunda Sumuni maire de Bukavu
En rappel,le 41e congrès des maires francophone est organisée par l’association des Maires Francophones (AIMF) et se tient à Kigali au Rwanda depuis le 18 Juillet 2021.
Après la réhabilitation de l’Institut Monseigneur Aloyse Mulindwa à Cibanda dans la chefferie de Kaziba en territoire de Walungu, l’Archevêque Métropolitain de Bukavu,Mgr François Xavier Maroyi va procéder le Jeudi 29 juillet 2021 à l’inauguration de cette école à vocation Technique pour l’auto-prises en charge des jeunes. Occasion pour la Fondation Cokola Katintima d’inviter la population à envoyer les jeunes à cette école pour combattre la pauvreté.
C’est une école secondaire purement technique réhabilitée grâce aux efforts du notable Norbert Basengezi Katintima au travers de la Fondation Cokola Katintima organise :«la Mécanique générale, la Menuiserie et la Maçonnerie».Ceci pour accorder l’auto-prise en charge des jeunes et répondre ainsi aux besoins de la population.
«Pour ce faire,connaissant la nécessité de cette école qui répond directement aux besoins de la famille, nous demandons à toute la population de Kaziba,Ngweshe,de Luhwindja,Bufuliru,Burhinyi ,de Mwenga,Fizi,Kabare,de Shabunda Buhavu,Bukavu et de partout ailleurs d’envoyer leurs enfants à cette école qui répond au développement réel de la base » indique la Fondation Cokola Katintima dans un communiqué dont copie nous est parvenue.
Notons que les travaux de réhabilitation de cette école ont débutés en Novembre 2020 par la Fondation Cokola Katintima avec l’appui du notable Norbert Basengezi Katintima toujours au service de la population et la promotion de la jeunesse.
Dans le cadre du 41e congrès,des maires francophones tenu à Kigali au Rwanda depuis le 18 Juillet 2021,le débat tourne autour de la planification familiale et l’égalité femmes-hommes.
Au cours de ce colloque international plusieurs questions sont abordées comme celles liées à la santé des jeunes et la planification familiale,l’offre de services de santé municipaux, plaidoyer sur la planification familiale et bien d’autres.
Au sortir de ces assises,les maires des différentes villes membres de l’association internationale des Maires Francophones,ont pris des engagements dans une déclaration pour promouvoir l’égalité femme-homme et la participation des femmes et filles à la prise des décisions et au développement du leadership.
«Nous nous engageons, dans une logique de complémentarité entre acteurs et dans un esprit de collaboration, à contribuer à l’effort international en faveur de l’égalité femmes-hommes et des DSSR, et notamment à :Augmenter la participation significative, le leadership et le pouvoir de prise de décision des filles et des femmes, en s’efforçant de faire progresser la parité des genres dans tous les aspects de la prise de décision publique, la société civile, les organisations internationales, les institutions politiques et gouvernementales,y compris les postes exécutifs et législatifs. Accroître la responsabilité, la participation et le soutien aux organisations de femmes autonomes, femmes défenseurs des droits humains et artisanes de la paix, renforcer les organisations, les réseaux et les mouvements oeuvrant pour promouvoir et protéger l’autonomie corporelle et les DSSR»
L’autonomie des filles et femmes !
« Contribuer à l’autonomisation des filles et femmes pour prendre des décisions,autonomes sur leur corps, leur sexualité et reproduction, grâce à la connaissance des droits et aux changements de normes de genre.»
L’accès aux services de santé sexuelle
«Promouvoir un meilleur accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les populations urbaines, notamment l’accès volontaire à la contraception pour contribuer à l’objectif des Nations Unies de 50 millions de femmes et de filles utilisatrices supplémentaires d’ici à 2026.»
Prioriser les jeunes et population marginalisés
«Faire de la prise en compte des adolescents et des adolescentes, des jeunes et des populations marginalisées une priorité afin de répondre à leurs besoins pour des villes et territoires inclusifs, et soutenir la diffusion des programmes d’éducation complète à la sexualité pour contribuer à l’objectif mondial de 50 millions d’enfants, adolescent(e)s et jeunes supplémentaires informés d’ici à 2026.»
Mettre en œuvre des stratégies pour prévenir et éradiquer les violences sexistes
«Mettre en œuvre des politiques locales, y compris des stratégies multisectorielles de prévention, afin d’éradiquer les violences sexistes à l’égard des femmes et des filles et toute autre forme d’abus physique ou moral visant à limiter leur pleine participation à la vie des communautés.»
Assurer le suivi des actions
«Partager les meilleures pratiques et les progrès accomplis avec les membres de l’Association Internationale des Maires Francophones pour diffuser et encourager le changement, en particulier en développant un système de monitoring de nos actions dans ce domaine via des plateformes multi-acteurs, la production de méthodes et des données nécessaires à la mesure des progrès accomplis, fournissant une aide à la décision publique basée sur des preuves.»
Notons que l’Association Internationale des Maires Francophones qui reste déterminée à regrouper les maires afin de promouvoir les politiques ambitieuses à l’égalité femmes-hommes.Ces travaux sont organisés sous l’accompagnement de l’union européenne et la fondation Bill et Melinda Gates.
Des coups des balles viennent d’être entendus la soirée de ce samedi 17Juillet 2021 sur avenue de la presse (Pageco) en commune d’Ibanda en haut de la place de l’indépendance. Des sources sur place renseignent qu’une dame été attaquée par des hommes armés qui lui ont ravis son sac à main contenant de l’argent et d’autres biens de valeur devant son domicile.
A en croire nos sources,c’est vers 20h qu’une femme communément appelée «Mama Christophe» et qui détient une boutique de vente des téléphones à Nyawera s’est fait ravir avant d’entrer à son domicile, son sac à main contenant une somme importante d’argent et les clefs de sa boutiques
Ces hommes en armes seraient entrain de la poursuivre jusqu’à sa destination où ils ont tiré des balles en l’air pour se frayer le chemin.
Face à cette situation,les habitants de l’avenue de la presse dénoncent ce cas d’insécurité et demandent aux autorités compétentes de prendre des mesures pour mieux sécuriser la population et ses biens.
La ville de Bukavu fait face à un nouveau phénomène anormal depuis plusieurs jours. Bradeurs,cambistes et changeurs de monnaie refusent délibérément les billets de dollars américains sales et aussi avec mention derrière ou autre écriture.
Le phénomène aurait commencé à Goma, des clients avec billets de 5 à 50 dollars se voient refuser les changes dans plusieurs coins de la ville.
Billets de 5, 10, 20 et 50 dollars ne passent pas chez les changeurs de monnaie. Si pour les jours passés, il s’est agi des billets avec défaut, actuellement le champ s’est élargi.
Avec ou sans défaut, des billets pas clairs, avec une moindre écriture ou encore les billets seulement non apprécié par le changeur et l’opération de change est rejetée.
Pour plusieurs personnes, l’anomalie a pris une mauvaise allure, les uns vont jusqu’au refus des billets de 5000 et 1000 francs congolais pourtant sans défaut.
La situation s’empire avec le marchandage. Ceux qui refusent ces billets se lancent à des coop pour la réduction. Pour 20 dollars, les uns négocient une réduction jusqu’à 18 ou17 dollars, ce qui met en mal les habitants.
Plusieurs contactés par la RTNK disent avoir été victime de ce qu’ils qualifient d’escroquerie. Et cela c’est presque partout dans la ville. Tous les postes des changeurs de monnaie font subir aux habitants ce sort.
Les habitants interpellent les autorités provinciales à s’investir dans ce dossier pour décourager ces actes.
D’autres vont jusqu’à solliciter aux autorités d’assumer leurs responsabilités comme ça était le cas du Nord-Kivu
En rappel,dans la province voisine, le gouverneur militaire avait signé un communiqué mettant en garde tout citoyen qui, sera attrapé dans ces sales besognes dès lors, la pratique a complètement pris fin
La dépouille mortelle du cardinal Laurent Monsengwo Pasinya arrive sans changement de la dernière minute ce dimanche 18 juillet 2021. Ceci ressort d’un communiqué rendu public ce vendredi et signé par l’Abbé Georges Njila, secrétaire-chancelier de l’archevêché de Kinshasa.
Selon ce communiqué signé par la chancellerie tout le programme est resté intact à part le changement du jour de l’arrivée de la dépouille à Kinshasa. Il est notamment prévu à la même date du rapatriement du corps, son dépôt à l’hôpital saint Joseph à 12 heures. La célébration solennelle de l’eucharistie se déroulera à l’esplanade du Palais du peuple, le mardi 20 juillet. Son inhumation interviendra le mercredi 21 juillet à la Cathédrale Notre Dame du Congo, et ce sera aux côtés de ses prédécesseurs Joseph Albert Malula et Frédéric Etshou Nzabi Bamungwabi.
Le programme détaillé des obsèques se présente comme suit :
Du mardi 13 au vendredi 16 juillet : Messes et prières dans les paroisses et communautés religieuses
Le dimanche 18 juillet 2021: Arrivée de la dépouille mortelle • 10h00 : Accueil de la dépouille mortelle à la Cathédrale • 12h00 : Dépôt de la dépouille mortelle à la morgue de l’Hôpital Saint Joseph
Mardi 20 juillet 2021: célébration solennelle de l’Eucharistie à l’esplanade du Palais du Peuple l’Eucharistie • 9h00 : Arrivée de la dépouille mortelle • 9h30 : Hommages des Officiels • 10h30 : Messe
Mercredi 21 juillet 2021 : Inhumation • 9h30 : Messe + oraison funèbre + inhumation (à la Cathédrale)
En rappel, le cardinal Laurent Monsengwo est décédé ce dimanche 11 juillet près de Paris (France). Il s’y était rendu dans la nuit du lundi au mardi 6 juillet dernier dans un avion médicalisé pour des soins appropriés alors qu’il se trouvait déjà dans un état critique.
Dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la femme africaine le 31 Juillet prochain,les femmes de la région des Grands-lacs se sont réunies ce samedi 17 Juillet 2021 à Kigali pour discuter au tour du thème : « Femmes africaines et les défis liés à la pandémie du corona virus »
Des assises organisées par la Plate-forme des Autorités Locales des pays de Grands-lacs avec l’ accompagnement de l’Association Internationale des Maires Francophones sous un financement de l’Union Européenne à l’intention des femmes de la RDC,du Rwanda et du Burundi.
C’est une journée de réflexion sur différentes questions qui touchent la femme pendant cette période de COVID 19 et son impact sur le quotidien.
Plusieurs thématiques ont été abordées entre autre « Femmes commerçantes transfrontalières et résiliences face au corona virus, le rôle des hommes et la masculinité positive pour l’autonomisation de la femme »et bien d’autres
Tout en félicitant les initiatives de son pays dans la promotion des égalités comme stratégie de développement durable le ministre du Genre au Rwanda Dr. Jeannette BAYISENGE appelle au soutien des hommes comme partenaire clé dans tous les domaines de la gouvernance locale malgré les perturbations dues au Corona virus.
Le secrétaire permanent de l’association internationale des maires Francophones Pierre BAILET renseigne que l’AIMF reste déterminée dans le combat de la promotion de la femme dans la vie locale du développement des services essentiels car la force de la femme reste dans l’esperance.
Notons que plusieurs initiatives féminines ont été présentées comme celles des femmes travaillant dans le recyclage des déchets,l’aviculture,dans le domaine artistiques et autres.